Décidément, quel humour !
Pourquoi maudire une émotion ?
Alors que depuis toujours,

On sait qu'il n'a jamais été un saint.
Amour un coquin.
Comme un Enfant,
Il a besoin de beaucoup d'attention.

Tel la Lune, il change souvent de face.
Mais, je comprends que tu te lasses,
Au bout d'un temps.

À force d'être déçue,
Tu dois te dire : « Si seulement,
J'avais su...»

Sincèrement, tu sais, le cœur est un azur.
Il a beau avoir une couleur pure,
Nonobstant,
Il finit parfois par changer de temps.

Quand il est blessé,
Il peut pleurer.
Quand il est fâché,
Même en Enfer, il peut neiger.

Mais à la suite de ces intempéries,
Comme la pluie,
Quand tu lèves les yeux au ciel,
N'espères-tu pas croiser un arc-en-ciel ?

Et retrouver le beau soleil
Qui rayonne sur la Terre et le Paradis ?
Vois-tu mon amie,
Ainsi va le cycle des sentiments.

Un jour, tu trouveras un amant,
Ou une amante, qui fera de toi,
Une Âme-heureuse comme moi.

Lorsque tu me lis,
Je devine un sourire sur tes lèvres.
Oh...Aurais-tu de la fièvre ?
Alors, pourquoi tu rougis ?

Ta sensibilité se révèle.
À te voir ainsi, je te trouve si belle.

Patience, Éloïse.
Ce n'est que partie remise.
Tu es une bonne joueuse,
Alors à la prochaine, tu seras meneuse !

N'oublie jamais ceci :
Tu n'es pas une Damnée, mon amie.
Tu n'as donc pas à jurer au diable.
Même si tu es une femme peu aimable.

Je plaisante !
Tu sais bien qu'à ton égard, je ne suis qu'aimante.

Dorénavant, nous crierons à ce jour :

« Gloire à l'Amour ! »