🌚 INTRODUCTION 🌚

Màu nền
Font chữ
Font size
Chiều cao dòng

Un peut de fantaisie ? Why not ? So ça va être en plusieurs parties 🌈❤ elyse002

ROMÉO

Ma mère m'avait serré fort dans ses bras ce jour là, comme si elle avait peur de ne plus jamais pouvoir le faire. Je me rappelle avoir sentis ses mains lâché ma queue de cheval alors que mes pieds frôlait le cercle. J'étais remplis d'émotion, j'allais rentrer dans le monde des adultes ! J'allais enfin devenir celui que j'ai toujours voulu être, un homme fort.

Ce sortilège allait chasser toutes mes peurs, me guérir de ma faiblesse naturelle !

Je sentais une énergie traverser mon corps. Me faisant tourner sur moi même en quittant le sol. Une lumière blanche pure courrait sous ma peau, chassant toute mauvaise chose en moi. La douce énergie sortant du cercle me fit tourner pendant bien deux minutes.

Le visage de ma mère semblait se détendre quand l'énergie me fit redescendre. Les fines lumières commencèrent à quitté mon corps tendis que je sentais une chaleur la remplacer. Je sentais mon pouvoir affluer ! J'avais aussi le tournis !

«- Ils arrivent !»

Un gard avait ouvert la porte laissant passé un coup de vent de démon. Je tombais à genoux contemplant le sable du cercle s'envoler. Ma vision tourbillonnait encore et je n'arrivais même pas à me relever. Une douleur sourde me clouait au sol.

La lumière n'ayant pas quitté mon corps, s'était retrouver perdus sous ma peau, me brûlant de l'intérieur. Mon sangs mêlé à cette magie devint noir et la douleur me tordait les entrailles. Ce liquide épais coulait dans mes vaines et je pouvais sentir chacun de ses mouvements.

Les sages me regardèrent méfiants avant de quitter la pièce. Ma mère enlaça mes doigts avant de me lâcher subitement. Sa paume était devenu noir tendis qu'un rictus de douleur avait remplacé son sourire chaleureux. Je ne me souviens que vaguement de la suite.

Lorsque ma tête avait finis de tourner, j'ai ouvert les yeux sur une boucherie. Une odeur de sangs et de pourri entourait mon maigre corps endolorie. J'ai vomi sur le côté avant de me lever. Le liquide noir devenait de plus en plus douloureux à chaque pas. Je voulus appuyer contre un mu, mais j'ai trébuché sur une masse enrôler dans des vêtements blancs.

Le visage sans vie du sage m'avait glacé le sangs et m'avait donné la force d'avancer.

«- Ro... Roméo !»

Je me suis retourné, regardant dans tout les sens, inspectant du regard chaque tas de corps à la recherche de la voix qui m'appelait. La main pâle de ma mère sortie de derrière un rideaux. Je me suis traîné derrière ce dernier un peut perdus. Ses bas était déchiré et elle semblait couvrir ses jambes avec difficulté, je pus tout de même distinguer un moignon ensanglanté dénaturé sa robe blanche.

«- Tu dois fuir, elle posa sa main sur la mienne.»

Des bruits se firent entendre et elle me serra davantage. Ses doigts commençaient à s'écailler comme la cendre au bout de ses cigarettes. Friable et noir.

«- Je dois disparaître, dit elle en regardant ses mains partir en poussière. Tu dois partir, ils sont là pour ton pouvoir, pour ton anomalie, elle déglutit. Ils feront de toi une arme...»

Je l'ai regardé sans bruit les bras ballant.

«- C'est une malédiction, les sages nous ont mentis, pesta elle en serrant les doigts. Ta haine, ta peur, ses marques sont les représentations de tes mauvais sentiments.»

Quelqu'un défonça la porte et ma mère posa ma paume sur sa joue qui s'effrita. Elle s'obliger à sourire sous la douleur.

«- Pars, ordonna elle doucement en me tendant sa cape.

- Maman, je l'ai regardé devenir entièrement noir. Où vais je aller ?

- Il existe un remède, quelqu'un capable de te protéger... Le vieux temple... récite la prière au vieux temple... Vas y...»

Elle embrassa mon front en me poussant avec ce qu'il lui restait de main.

Et à peine c'était elle transformer en poussière, que je partis cacher sous sa cape grise. Mes mains seraient le tissus fermement, dissimulant les marques noirs douloureuses sur mes joues. Je devais me calmer, si je me calmais ça irait mieux, les marques deviendraient invisibles et indolores...

Je me suis murmuré de me calmer jusqu'à ce que ça fonctionne et j'ai continué à avancé dans la forêt. J'allais en sortir quand je vis le corps ballant de mon père pendus devant notre maison de fortune. J'ai alors détourné le regard vers le temple où ma mère était devenu un petit tas de poussières. Je devais suivre ses consignes.

J'ai marché pendant longtemps, défiant les soldats ennemi et volant les villages voisins. Lorsque je tuais quelqu'un, un symbole se gravait sous ma peau tel un tatouage d'assassin. J'étais passé de futur gouverneur à médiocre fugitif. Et puis j'ai atteint mon but. Un temple en ruine sur le quel était écrit une incantation que seul mon peuple pouvais déchiffrer.

J'ai fermé les yeux, mimant de ne pas entendre les chevaux ses gardes arriver. Ma main noir posé sur la pierre froide. Je sentis la même douche énergie blanche que lors de l'accident. Cette sensation qui avait chassé mes marques noirs, qui avait réchauffé mon corps était en train de me faire évaporer en milliards de particule de lumière.

«- Thérèse ?»

Une voix d'homme me réveilla. Le sol de mousse était devenu un parquet neuf et brillant. Je lève la capuche afin de chercher qui avait reconnu l'habit de ma mère.   

Un homme aux traits fatigués fronça les sourcils avant de se retourner. Il mit une paire de gant noir et me tendit la main. Une grande dose d'ombre s'enroula autour de mes doigts quand le caoutchouc froid rentra en contact avec ma peau. J'ai failli pleuré quand l'homme me fit me relever sans mourir. Il tira ma main vers le haut en contemplant les multiples marques tatouer sur mon avant bras.

«- Tu as quel âge pour avoir de tel marques ?, dit il avec une voix de vieux fumeur.»

Je reste muet et il me lâcha. Il enleva son gant et remonta sa manche. Son bras était également tatouer mais à paine jusqu'au poignet. Il me reposa la question en remettant son gant.

«- J'ai, mon regard se plongea dans ses yeux gris. J'ai marché dans une foule de soldats effleurant chacun d'entre eux sur mon passage.»

Le vieux ria avant de me faire signe de le suivre. Ce monde parallèle était à la fois semblable et différents du miens, comme si l'on vivait à travers un miroir déformant. Il m'a fallut quelque mois pour m'habituer à la vie avec Charlie et il m'a fallut un certain temps pour comprendre parfaitement lecture traditionnelle de cette région.
Lorsque je lui demandais comment il en savait autant, il me répondit ceci :

«Je suis née suite à une infidélité. Un sage, le mari de ma mère, m'a maudit avant de la forcé à me donner le sain. Elle c'est transformé en poussière et mon père biologique à passer sa vie à chercher un remède.»

Le fameux remède se trouvait de ce monde où la magie n'était que artificiel. Et il fallait beaucoup de temps de traitement, plusieurs années.

LOUIS

J'ai sortie ma valise du coffre en fulminant. J'étais bien trop grand pour ce genre de chose !
«Un été chez papi se serait cool non ? Sois sympa n peut ! Profite de papi tant qu'il est là !»

J'allais entrer mais il posa fermement sa main sur mon épaule. Son regard gris indiquait derrière moi. Je me suis retourné et vit un garçon étouffer sous une cape grise et un pull saluer mes parents tout son être était dissimulé sous son attirail mais je pouvais le voir se crispé en me voyant.

«- C'est quoi ça ?

- "Ça", commença grand père. C'est le garçon que j'ai adopté il y a trois ans. Il souffre d'une maladie rare, expliqua il en plongeant son regard dans le mien. Disons que toute sa peau est toxique, il semblait étrangement sérieux.»

Le tas de vêtements s'approcha et je pus entendre une salutation étouffer. Je pris sa main en caoutchouc dans la mienne et il rentra. J'ai posé mes affaires dans la chambre d'ami en pensant à la blague de papi. J'ai essayé de parler avec le tas de vêtements, mais il semblait essayer de m'éviter. Après deux, trois jours, j'ai abandonné et j'ai commencé à m'ennuyer dans ma chambre où dans le jardin.

En pleine nuit, je me suis réveillé pour aller pisser et en descendant, je me suis arrêté dans l'escalier sans un mot. L'étrange créature enlevait ses couches et les rangeait dans le placard. Un tremblement me traversa. J'allais enfin voir sous cette masse ce tissus ! Il trébucha sur un sac de carottes qu'il avait amené avec lui en rentrant, qu'elle idée de faire du jardinage maintenant...

Il avait des cheveux blond épais et une carrure de sportif. Lorsqu'il enleva son pull, je vis le haut de son corps nu. Des taches noirs bougeait sous sa peau comme des méduses, changeant de forme et de position avant de disparaître petit à petit. Il lâcha un soupire lorsqu'elles eurent entièrement disparu et à enfiler son t-shirt.

Mon coeur battait à toute allure et j'avais des picotements aux bouts des doigts. J'ai doucement descendue les marches pour me retrouver derrière lui. Il se tourna dans un sursaut en se tenant au placard. Les méduses sont revenu encore plus noirs et se promenait sur son visage et sur ses épaules.

J'avais l'impression de marcher sur un fil. À la fois excité et effrayer.

Son visage était lisse et ses pupilles étaient énormes, non. Ses yeux étaient presque entièrement noirs ! Des méduses passèrent sur son nez pour descendre le long de son coup. J'ai levé une main pour essayer d'en caresser une mais un main massive me tira par le poignet. Le blond tomba à genoux en serrant sa poitrine.

«- La peur est ton ennemi, cracha le vieux.»

Le garçon serra les dents et le parquet se fendu sous lui comme si on avait accroché des poids de plusieurs kilos à tout ses membres. Les méduses tapait sa peau, la soulevant comme si quelque chose tournait sous sa chair.

«- Je sais, répondit le garçon dans un grognement.»

Papi me tira dans la cuisine et alluma la lumière. Ses yeux tombaient et il semblait avoir pris plusieurs années en une nuit. Il passa sa mains sur sa barbe piquante en cherchant ses mots. J'avais la bouche pâteuse et mon corps était engourdi. Les méduses avaient comme rendus l'air difficile à respirer.

«- Qu'est ce qui t'a pris ?!, papi avait la bouche pâteuse également et il se servis un verre d'eau. Tu as sentis son venin dans l'air et t'as pas bougé !

- Je, mon esprit était embrouillé comme si mes pensées jouait à cache cache. Je n'en sais rien.»

Grand père me regarda avant de soupirer. Il sortie une boîte de comprimés de sa poche. « Traitement contre les troubles de l'attention pour : Louis Diaz». J'ai caressé l'étiquette en silence.

«- Je me suis senti léger, dis je en versant quelque pilule dans ma main. Mon sangs était devenu chaud et quelque chose à alléger ma poitrine.»

Papi tapa dans ma main et les pilules on sauté. J'ai levé les yeux vers lui en reposant la boîte. Il prit mes mains en tournant mes poignets vers le ciel. Il fit signe au garçon de venir et il avança lourdement. Il se laissa tomber dans la chaise en face de moi et posa sa tête contre la table. Papi me lâcha pour enfiler un masque d'infirmière.

L'étrange sensation me repris quand je vis une méduse simobiliser sur le bout de ses doigts. Il avait une main posé en face de moi et la tête dans le coude. Grand père me regarda sans rien dire et les picotements devinrent plus intenses sur ma main.

«- Essaye de le toucher, dit il calmement. Si ça se passe mal lâche le directement et je te soignerais.»    

Il posa une fiole au liquide rouge sur la table. J'ai regardé à nouveau sa peau se soulevé au passage des méduses qui commençaient à s'amasser vers moi. Sa main était entièrement noir. Je laisse mes doigts glissé sur la table en direction de ses méduses.

ROMÉO

Mes tempes étaient douloureuses et mes muscles semblaient peser plusieurs kilos. Je voyais les taches noirs passé devant mes pupilles, affluer au bout de mes doigts. Et puis j'ai eus l'impression d'être tomber dans l'eau. Mes oreilles étaient bouchées et mon corps léger. J'ai levé la tête comme si cet douleur perpétuelle avait cessé.

Le garçon aux mèches rousses tenaient mes doigts entre les siens et regardait nos mains avec les yeux grand ouvert. Une lumière blanche et chaleureuse se dégageait de nos mains. Les taches noirs glissaient sous ma peau, touchaient sa peau et disparaissaient dans les airs en dégageant une étincelle blanche. J'ai enlacés sa main et il leva les yeux surpris. Ses yeux verts brillaient tendis que les étincelles s'élevaient dans les airs.


à suivre...

Première semaine d'examen terminé 🍻 plus qu'une !🍨

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen2U.Pro