Chapitre 38 : Flocons

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Après que Midoriya et moi ayons regagné l'internat pour le dîner, le vert me laissa afin d'aller étudier dans sa chambre. Malheureusement, je ne me sentais pas du tout motivée à me plonger dans les cahiers et les formules mathématiques pour le moment. Je n'avais pas de retard et mes devoirs étaient faits, mais il fallait se rendre à l'évidence que quand on était à Yuei, il fallait toujours faire du travail en plus. C'était «plus ultra» même pour les leçons. Seulement, ce n'allait pas être pour aujourd'hui. J'étais fatiguée et épuisée, bien que nous soyons le week-end et que j'étais sortie toute l'après-midi avec Midoriya.

De plus, il faisait déjà nuit, le soleil se couchant bien plus tôt en hiver qu'en été. Cela n'aidait pas à me motiver et une immense paresse me dissuadait de faire quoi que ce soit de productif.

J'entrais donc dans ma chambre et me laissais tomber sur mon lit, les yeux fixés sur la pile de manuels sur mon bureau qui n'attendaient qu'à être ouverts. J'attrapais mon oreiller pour le serrer contre ma poitrine et roulais mollement sur le côté.

Je n'avais pas encore fermé les volets, ce qui me permettait d'observer l'extérieur depuis mon lit. Le ciel était si noir qu'aucune étoile n'était visible. La lune était cachée par d'épais nuages, ses rayons atteignant très faiblement l'intérieur de ma chambre. Je soupirais, décidément bien démoralisée.

Toute la semaine, j'avais vu Momo et Todoroki passer du temps ensemble. Kyoka avait découvert mes penchants pour le bicolore et je m'étais moi-même vendue à Midoriya. Quelle poisse. Il s'était passé tellement de choses que tout cela m'ennuyait au plus haut point.

J'étais tout de même soulagée que ce ne soit pas Momo qui ait apprit mes sentiments envers Todoroki.

J'aurais été bien embarrassée et je me serais très certainement liquéfiée sur place. Je n'avais aucune envie d'esquinter ma relation avec Momo, étant la fille dont j'étais la plus proche dans la classe. Peu importait ce que je pouvais bien ressentir, je devais mettre cela de côté et avancer. Les sentiments amoureux ne devaient pas être un frein ou un obstacle à cette amitié.

Mais l'amour était une sensation douloureuse.

Je n'avais qu'une vague idée de ce qu'était l'amour. Pouvait-on même parler d'Amour ? Je connaissais celui de la famille, celui des amis et Nemuri m'avait parlé de l'amour sincère et passionnel. Elle avait décrit cela comme une chose fantastique qui n'arrivait que très rarement dans une vie. Elle m'avait tellement bassiné avec ça que je n'en avais qu'une confuse idée.

Mais quand bien même j'étais consciente de ce que c'était et que cela existait, c'était la première fois que je le ressentais. Je n'en avais pas eu l'occasion dans les sous-terrains et il ne m'était jamais venu à l'idée qu'un être-humain pouvait partagé ce type de relation. J'étais bien trop jeune. Mais maintenant que j'étais libre et que j'avais du temps pour moi, tout était en train de changer.

Je découvrais la vie d'une adolescente normale.

Et cette banalité me plaisait.

Je vivais de nouvelles expériences, de nouvelles découvertes et de nouveaux sentiments. L'amour. Les amoureux s'embrassaient, s'étreignaient, se disaient des mots doux et s'aimaient.

Mon cœur se serra dans ma poitrine. Je ne pouvais tout simplement pas imaginer de telles choses avec Todoroki. J'enfouis mon visage enflammé dans mon oreiller, embarrassée, comme si on pouvait entendre haut et fort mes pensées et désirs dévergondés. Non, vraiment. Il était impossible d'espérer créer un tel lien avec mon camarade.

Ah...

Ce n'était qu'une question de temps pour que Momo se déclare à Todoroki et que ces deux-là engagent ce type de relation. Ils allaient profiter et s'aimer.

J'agrippais le tissu dans mes mains et lâchais un cri enfantin en tapant des pieds sur mon lit. Comment allais-je faire si Momo et Todoroki s'embrassaient devant moi ?! Je sursautais furieusement lorsque, prise en flagrant délit, Shinso tapa doucement contre le mur pour me demander de me taire.

Non mais j'en viens même à déranger ce pauvre garçon.

Je soupirais, soulagée qu'il n'ai pas décidé de venir me le dire en personne et qu'il découvre mon visage rouge pivoine. Je grommelais quelques excuses comme si le garçon allait les entendre à travers le mur et laissais retomber le coussin.

Cette situation ne pouvait pas durer. Je devais faire quelque chose pour arrêter de bouffer les racines et me libérer de ce sentiment bien trop oppressant.

Je soufflais une nouvelle fois et me relevais avant d'attraper ma doudoune échouée sur la chaise de bureau. Prendre l'air de ce temps-là allait me remettre les idées en place, et si ce n'était toujours pas le cas, j'irai voir Nemuri pour lui en parler. Je pris soin de ne pas faire de bruit et d'éteindre la lumière de ma chambre. Loin de moi l'envie de déranger Shinso une fois de plus ou d'attirer l'attention de quelqu'un.

J'avais besoin d'un moment de tranquillité pour réfléchir.

Je sortis donc discrètement dans le jardin, soulagée de ne croiser personne dans la salle commune. Le vent glacé de l'extérieur me fouetta le visage en sortant, m'obligeant à remonter ma fermeture jusqu'au nez. Je frissonnais, une fine buée s'élevant dans l'air à chacune de mes expirations.

Dans les sous-terrains, la chaleur de la terre et des flammes nous protégeaient toujours des hivers rudes que passaient les gens normaux. À mon arrivée chez Nemuri, j'avais cru mourir congelée durant mon premier hiver. Mais il s'agissait d'agréables souvenirs dans ma mémoire. Comme je n'étais pas inscrite à l'école et que Nemuri m'enseignait les bases à la maison, j'avais passé mon temps cachée sous la couverture à trembloter. Elle s'était toujours moquée de moi mais ne m'avait jamais forcé à sortir du lit, se contentant de m'apporter des boissons chaudes et des sucreries.

Dans le froid glacial de l'hiver, mon cœur se réchauffa.

Je restais ici quelques minutes, frottant vigoureusement mes mains entre elles pour les réchauffer. Mais je soupirais une nouvelle fois, déconcertée. C'était incroyable à quel point lorsque vous aviez un garçon en tête, l'en faire sortir était tout bonnement impossible. Je me tournais et aperçu un coin près de l'arbre où j'avais emmené Todoroki à la fin de l'été. Je me sentis sourire en me rappelant ce moment que j'avais passé à ses côtés. Je décidais d'aller m'y asseoir, ramenant mes genoux contre moi dans une vaine tentative de me réchauffer.

Certains diraient que j'étais complètement folle de rester dehors par un temps pareil, mais malgré cela, j'étais bien obligée de me calmer. Je n'allais pas m'en sortir autrement.

- Qu'est-ce que tu fais ici dans un froid pareil ?

Je me figeais littéralement sur place et ce n'était pas à cause des températures. La seule personne que je voulais éviter parce qu'elle provoquait un bazar monstre dans mes sentiments était juste là, à me dévisager comme si j'étais bien dérangée de sortir maintenant.

- B-B-Bonsoir Todoroki.

J'avais violemment bégayé et je me maudissais déjà intérieurement pour ça. J'étais encore plus suspecte et je ne voulais pas avoir à me justifier sur ma présence ici. À mon grand désespoir, je vis Todoroki se rapprocher et mon regard plongea dans ses yeux gris et bleu.

- Tout va bien ?

- O-Oui... Ne t'inquiète pas, ça va aller !

Maintenant, j'en faisais trop. Un léger air inquiet traversa son regard avant qu'il ne redevienne tout aussi inexpressif que d'habitude. Il pointa l'espace libre à mes côtés et mon cœur rata un battement dans ma poitrine.

- Je peux m'asseoir ?

Non ! 

- Bien sûr, tentais-je de sourire.

Et c'était repartit. Toutes mes tentatives de penser à autre chose volèrent en éclat en sentant le garçon s'asseoir juste à côté de moi. Mon cœur battait tellement vite que j'étais certaine qu'on pouvait l'entendre à des milliers de kilomètres.

C'était tellement embarrassant !

- Et donc, que faisais-tu ici ? Me demanda-t-il.

Il réitérait sa question. Et qu'est-ce que j'étais censée répondre ? Que j'étais sortis parce que je pensais trop à lui ? Non, clairement, je n'allais pas lui dire cela. On pouvait me pendre par les pieds au plafond de la salle commune que je ne dirais rien. Je risquais bien trop à lui dire la vérité.

- Je prenais l'air, et toi ?

Il tourna la tête, évitant soigneusement mon regard.

- Je t'ai vu par ma fenêtre donc je suis venu vérifier si tout allait bien.

- Je vois...

Un silence s'installa entre nous. Cela faisait maintenant plusieurs heures que mon cerveau fonctionnait à plein régime. Mais alors que j'avais voulu stopper ce flot incessant de pensées, je me retrouvais aux côtés de Todoroki, dehors, nos épaules se frôlant monstrueusement.

Aucun de nous deux ne parla pendant plusieurs minutes. Nous étions tous les deux bien occupés à confronter nos réflexions entre elles pour ne serait-ce qu'engager une discussion. Cela m'arrangeait dans un sens, j'étais certaine que j'allais perdre mes moyens une fois de plus.

Mais visiblement, ce n'était pas le cas de Todoroki.

- Hé, Yumeko ?

- Hm ?

Il gardait la tête baissé et son regard était dissimulé sous sa frange. Cependant, je déglutis difficilement lorsque le garçon se laissa glisser contre le mur jusqu'à ce que sa tête ne vienne se poser doucement sur mon épaule. Ses longues mèches vinrent chatouiller mes joues et je sentis mon cœur s'emballer dans une salsa de battements incontrôlés alors que mon visage brûlait à m'en réchauffer le corps entier.

- T-T-Todoroki ?!

- Juste une minute, s'il-te-plaît.

Je ne dis plus rien, mes lèvres s'étant simplement cousues entre elles. Je ne savais ni comment réagir, ni ce que je pouvais bien dire. Alors je choisissais de rester silencieuse. Que lui arrivait-il ? Avait-il vu son père ? Si c'était le cas, alors il s'était peut-être disputé avec lui. Comment pouvais-je le rassurer ?

- Yumeko, ce jour-là, j'ai cru que tu n'allais plus jamais revenir. 

Kamaryuu ?

Il était comme ça... à cause de moi ? Je sentis un petit sourire mélancolique se dessiner sur mes lèvres alors que celles-ci se mirent à trembler. Vraiment, il me mettait dans tous mes états. Même aujourd'hui, après plusieurs semaines, il me prouvait que jamais il ne m'avait oublié. Que malgré les ennuis dans lesquels je m'étais fourrée, il serait venu quoi qu'il en coûte.

Et j'avais douté de lui.

Mon cœur se serra dans ma poitrine.

- Tu sais, commençais-je en laissant ma tête se caler contre la sienne, quand j'étais enfermée là-bas, j'ai très vite perdu espoir. Je croyais même que tout ce que j'avais vécu avec Nemuri et en arrivant à Yuei n'était qu'une simple illusion.

Je le vis serrer les poings.

- Pardonne-moi de ne pas être arrivé plus tôt.

Peut-être parce que la magie de l'instant que nous vivions me donna le courage de le faire, je frottais doucement ma tête contre la sienne. Cette fois-ci, je souriais non pas de morosité mais de bonheur. C'était agréable d'être contre lui de cette manière, et rien que pour une fois, rien que pour un instant, j'oubliais ma culpabilité envers Momo. Je voulais rassurer Todoroki et c'était la seule manière que j'avais trouvé.

Alors... Rien que pour aujourd'hui, pardonne-moi Momo. 

- Si tu veux arrêter ça, alors lève-toi, parce que je n'ai qu'une seule chose à te dire. Peu importe à quel point les ténèbres qui t'entourent sont noirs, n'oublie pas qui tu veux devenir, citais-je en fermant les yeux.

Il hoqueta de surprise, stupéfait par ce que je venais de dire.

- C'est ce que tu m'as dis quand cette arme est sortie de mon corps, pas vrai ? Je t'ai entendu et j'ai compris que tu étais arrivé pour moi. Alors merci d'être venu me sauver.

Todoroki releva lentement la tête et lorsque je me tournais pour lui faire face, je vis ses yeux écarquillés et ses lèvres entrouvertes. Tout à coup, je tombais complètement des nues lorsqu'il passa ses bras autour de moi, un dans le bas du dos et une main derrière ma tête, me plongeant dans la chaleur de son torse. Son front retomba contre mon épaule et c'est à ce moment-là que je la sentis : sa fragilité et sa sensibilité, bien plus que les fois où son père avait été la raison de ses maux. Non, c'était totalement différent. Son étreinte était faible et sa main tremblait dans mes cheveux. Il était à l'instant si vulnérable que j'avais l'impression de pouvoir le briser rien qu'en le touchant.

Il ne devrait pas faire ça.

- Ne me refais plus une telle frayeur.

Je serrais le tissu de son manteau dans mes doigts frémissants.

Je ne devrais pas faire ça.

- Todoroki...

Il enfouit sa tête dans mon cou, son souffle chaud s'écrasant diablement sur ma peau.

Nous ne devrions pas faire ça... 

Soudain, quelque chose de froid et délicat se posa sur mon nez, me tirant de cette transe fiévreuse et incontrôlable. Je levais lentement le regard vers le ciel et lâchais un petit hoquet de surprise.

Ma main vint tapoter frénétiquement l'épaule de Todoroki.

- Todoroki ! Oh Todoroki je t'en prie, regarde ! M'exclamais-je, un sourire béant sur le visage.

Intrigué, le garçon regarda dans la même direction que moi.

De la neige.

Il neigait. Midoriya avait eu raison cette après-midi et, peu étonnant que cela puisse être, c'était une des premières fois que j'assistais à une chute de neige. Les flocons commençaient à tomber uns à uns, tout doucement, alors que Todoroki me tenait toujours dans ses bras. Ce spectacle était tout simplement fantastique à mes yeux. Je n'avais que très rarement vu des flocons glacés et humides tomber du ciel et c'était toujours un événement lorsque cela arrivait.

- Dis Yumeko, m'interpella le garçon, c'est la première fois que tu vois de la neige ?

Je me renfrognais. C'était toujours comme ça, on me prenait pour une idiote qui ne connaissait rien et c'était un peu agaçant.

Mais en même temps, c'était totalement vrai.

J'entendis un tout petit rire, vraiment imperceptible, s'échapper des lèvres de Todoroki. Des papillons s'envolèrent dans mon estomac et cela résonna mélodieusement dans mes oreilles. C'était tellement rare de le voir sourire, alors rire était encore plus exceptionnel.

J'aimais ce rire, son écho était terriblement doux et agréable.

- Tu as ris !

- Hein ?

- Je l'ai vu ! Tu as rigolé, Todoroki !

Il détourna le regard et se frotta nerveusement l'arrière de la tête, ne sachant trop quoi dire. Todoroki était plutôt mignon lorsqu'il était embarrassé. Je me devais donc de graver cette image rare et éphémère dans ma mémoire. Chacun de ces moments étaient précieux et je ne devais pas les oublier pour m'en rappeler plus tard.

Tout à coup, sans qu'on ne s'y attende, un vacarme fracassant se fit entendre, nous arrachant tous les deux un sursaut de frayeur. La porte de la salle commune donnant sur le jardin s'ouvrit avec force, dévoilant tous nos camarades, hurlant et sautant de joie.

La neige.

Ils avaient vu la neige et ils criaient sous la chute de flocons. Mina la première, elle se mit à tournoyer dans tous les sens tandis que tout le monde la suivait. Les sourires et les éclats de rire brisèrent le calme dans lequel nous étions plongés et je m'écartais vivement de Todoroki, effrayée que l'on nous voit ensemble. Il fut d'abord surprit par ma réaction mais l'ignora d'un haussement d'épaules avant que nous ne nous relevions rapidement.

- Ohé ! Vous êtes déjà là ? S'écria Mina en me faisant de grands gestes de bras.

Je lui fis un petit signe de la main en souriant. Elle était vraiment adorable et ils ressemblaient à une bande d'enfants rayonnant de bonheur. Malheureusement, mon sourire s'effaça bien vite lorsque je vis Momo sortir du salon à son tour, légèrement surprise de me voir avec Todoroki à l'écart des autres.

Mon cœur rata un battement.

Mais qu'est-ce que j'étais en train de faire ?!

Je me mordis la lèvre, la tête baissée et affreusement coupable.

- Hé, ça va ? S'inquiéta Todoroki en se penchant légèrement vers moi.

Je ne dois pas faire ça. 

Je fermais les yeux et serrais les poings quelques secondes pour ravaler cette douleur. Je m'écartais de lui et souris faussement. Je ne pouvais pas faire mieux à l'heure actuelle, alors peu importait à quel point ce sourire n'était pas sincère et que Todoroki le remarquait, je devais me sortir de cette situation. J'avais trahis Momo, mon amie, ma précieuse amie, rien que parce que j'avais voulu profiter d'un moment avec le garçon. C'était impardonnable et je ne voulais pas que Momo se fasse des idées. Je hochais frénétiquement la tête à la question de Todoroki avant de tourner les talons de façon peu naturelle, montée sur ressors, le cœur battant à toute allure.

- Il fait un peu froid, j'ai vu la neige alors je vais aller me coucher ! Dis-je, peu assurée.

- Oh, je vois, répondit-il, penaud.

Heureusement pour moi, il n'insista pas.

Et sur ces mots, j'évitais autant le regard de Todoroki que celui de Momo et m'enfuis discrètement dans ma chambre. Cependant, trop préoccupée par ma culpabilité, je ne vis pas les yeux perçants de Momo dans mon dos, m'observant quitter mes camarades pour rejoindre l'extension du dortoir. Et ce que je ne vis pas non plus, ce fut l'inquiétude tirant les traits de leurs deux visages.

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Bonjour tout le monde ! 

Shoto est enfin de retour 😂
Je vais pas vous cacher, je suis pas forcément très à l'aise pour écrire des scène romantiques et tous les trucs de ce genre😂 (Ptdrr dans ce cas pourquoi j'écris une fanfiction romantique me direz-vous)

Quand j'ai écris ce chapitre, je venais de publier le chapitre 28 ou 29 et je me suis souvenue que l'une d'entre vous m'avait dit de ne pas faire attention à la longueur des chapitres. J'ai donc décidé d'écrire ce que je voulais sans m'instaurer de limites dorénavant (tout en évitant de trop déséquilibrer les différents chapitres évidemment) mais du coup j'ai trouvé cela plus agréable.😊 -même si j'angoisse toujours d'écrire pour ne rien dire-

Du coup, ce chapitre est plus long que les précédents !

Que pensez-vous de ce contact entre Yumeko et Shoto ? 🙄❤️
Et pourquoi Momo était-elle inquiète ? 🙈 (pas de haine les ami.e.s ღ)

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