Two shoot : Aynet

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   On me secoua. Assez violemment, je dois avouer. Et e crois qu'on m'appelle.

   - Aze... Baptiste ! Aller, réveil-toi ! Putain AZE !

   - Oui... Doucement, murmurai-je.

   J'ouvris les yeux mais la lumière me les fit refermer directement, m'éblouissent. Deux mains froides se posèrent sur mon front et ma nuque, me provoquant un frisson. Donc, tout sa n'était qu'un rêve. Je soupirai et essayai de me relever pour pouvoir ouvrir les yeux.

   - Non Aze, il vaudrait mieux que tu reste allongé. Tu t'es peut-être cogné la tête en tombant, me dit Bill avec sa voix grave.

   - Qu'est-ce qui s'est passé ? Et pourquoi j'ai aussi mal au crâne ?

   - Tu venais de nous abattre avec Zera et quand tu es descendus... Tu es tombé et un de tes genoux à flanché... sanglota Fuka. Tu es tombé la tête la première et ça fait une demi-heure qu'on essaye de te réveillé. On a appelé une ambulance... Tu nous as fait peur Aze.

   - Mais non tout va bien, ne vous inquiété pas. Pas besoin d'ambulance, je vais parfaitement bien.

   - Non Baptiste, tu ne vas pas bien, tu t'es certainement tordus une cheville et y a un problème avec ton genoux droit. Donc on va attendre l'ambulance, me dit Aypierre.

   Je soupirai. Déjà que j'avais rêvé de tout ça et voilà que je retourne à l'hosto. Puis soudain, une main appuya sans faire exprès sur mon genoux droit et m'arrachai un gémissement de douleur. Bon ok, je ne vais pas aussi bien que ça. Quelque minute plus tard, les ambulanciers étaient là. Ils me placèrent sur une civière avant de me saluer.

   - Salut Aze, comment ça va ? Me demanda Enzo.

   - Bah c'est pas la super forme mais vous allez me remettre sur pied, rigolai-je avant d'être monté dans l'ambulance.

   - Comme d'hab quoi ! Sinon plus sérieusement, repris Valentin, Aze, Par rapport à ton genoux, on va faire la total car c'est pas la première fois et on va voir si c'est grave ou pas. Et cette fois tu n'as pas le choix, me lança-t-il alors que j'allai protester.

   Il m'avait cloué le bec. Deux secondes après je vis Pierre apparaître dans le camion. Je fronçai les sourcils, pris de panique.

   - Salut les gars, moi c'est Pierre.

   Enzo et Valentin se regardèrent tout les deux, pouvant mettre un nom dur la gueule du type qui m'avait fait souffrir.

   - Ouais... Salut ! Bon Baptiste, que je t'explique : on te transporte jusqu'à l'hosto et là, t'as de la chance c'est Grégory qui reprend ton cas. Il en profitera pour prévenir Val' de tes... problème, rigola Enzo.

   - Attendez, vous vous connaissais ? Demanda Pierre.

   - Oui. Mais cela, ne regardes aucunement.

   Pierre les regarda, décontenancé. Ils me parlaient et Pierre fixait le sol, abattu. Une fois arrivé, je fus pris en charge rapidement. Mais le diagnostic fut assez... choquant.

   - Baptiste, pourquoi tu n'as pas fais de radio comme je te l'ai demandé ? Pourquoi ? Me demanda Grégory. Franchement ! Tu vas te détruire la vie ! C'est ce que tu veux ? Te tuer pour sa !

   - Greg... Dis le diagnostic avant tout, rigolai-je.

   - Ton genou est pété. Ta cheville est tordue. Et tes cuisses Aze... Pourquoi as-tu fais tout ça... Aze, quand est-ce que tu arrêteras de te focalisé sur les mini défauts que tu n'as même pas ?

   - Car c'est moi, soufflai-je. Car tout ce que j'ai et partis en fumée, il y a quatre mois, car mes parents ne me parle plus car je suis homosexuelle, que les seuls personnes que je veux ne son pas la pour moi.

   Mon médecin me fixa avant de me dire qu'il me gardait pour une semaine, qu'il avait appelé Julie et qu'une seule personne pouvait rester avec moi pendant les nuits. Puis il sortit un silence pris place, je ne voulais pas parler et Aymeric ne semblai pas décidait à parle lui non plus. Mais d'un coup il se leva et se mit à faire les cents pas avant de sortis de la chambre précipitamment sous mes yeux qui fermé

Pierre

   J'avais un mauvais pressentiment quand je sortais de la chambre d'Aze pour aller parler à Bboy. Cette boule que j'avais au ventre me tirait de plus en plus à chaque pas que je faisais.

   - Quentin ! Hurlai-je, m'attirant de regard noir d la part des infirmiers.

   - Qu'est-ce que tu me veux, Pierre ? Me dit-il froidement.

   - Tu m'explique pour Aze ? Pourquoi le médecin lui a parlé de ses cuisses ?

   Ses yeux s'écarquillèrent et il se précipita dans la chambre de Batiste, ou nous l suivons d'ailleurs.

   - MAIS PUTAIN BATISTE ! CA NE T'AS PAS SUFFIS LA PREMIÈRE FOIS ! LES BRAS, LES JAMBES, SE SERAS QUOI APRÈS ! Hurlait-il. TU VEUX VRAIMENT MOURIR, TU VEUX VRAIMENT NOUS LAISSER ?

   Batiste tremblai et luttai contre son ami. Pris d'un geste de colère, je plaquai Quentin sur le mur de peur qu'il blesse Aze. Je voyais sa colère et sa haine pour moi dans ses yeux mais je n'avais pas peur. Enfin pas pour moi...

   - Aymeric, Bboy reste mon copain ! Me cria Nems.

   - Pierre, lâche-le ! M'imposa Azenet.

   Je gémis. Mais j'obéis à l'homme dans se lit d'hôpital. Je me tournai vers lui avant d'avancer lentement. Plus je m'approchais, plus ses pleurs amplifiait. Je lui saisi le poignet pour le retourner, je pouvais voir de nombreuses coupures. Tremblant de peur, je me saisi de la couverture et lui enlevais tout doucement. L'image qui s'imposait à moi me fit tourner l'estomac. Alors que je pleurai en silence, mes jambes me lâchèrent. Je m'écartai du lit d'Azenet, pour me rouler en boule dans un coin de la pièce.

   - Aze, ne te lève pas, souffla Bboy.

   Les machines ont commencé à biper et à s'affoler. Deux mains frêles veinèrent me prendre les miennes et dans la seconde qui suivie je me fis câliner par mon ami malade. Puis son poids s'accentua : il venait de s'endormir. Je le portai jusqu'à son lit, il était étrangement léger. Quand mes deux amis furent sur le point de partir, je leur demandai de nous envoyer quelqu'un pour rebrancher mon petit Batiste. On ne s'adressa pas un mot le reste de la soirée. Ni le lendemain. Le médecin d'Aze me prit à l'écart le troisième jour :

   - Tu es Aymeric ? Enfin Aypierre ? Me demanda-t-il.

   - Oui pourquoi ? Répondis-je, la voix roque – faute ne n'avoir pas parlé.

   - Car je voulais te demander de pourquoi tu avais arrêté de parler du jour au lendemain à Aze ? Sais-tu, au moins, combien il a souffert de cette situation ?

   - Mais... Putain, arrêté de croire que seul lui souffre ! Moi aussi j'en ai souffert de notre séparation, même si je sais que je suis celui qui a commencé ! Je sais qu'Aze ne fait plus de vidéo et qu'il est devenu un chef d'une entreprise qui fait parler d'elle ! Mais personnes ne peut comprendre ! Je suis passé par tout les sentiments et aucun ne corresponds pas à se que je ressens !

   « J'aimerais lui expliquer mais c'est dur de parler de se qu'on ne comprend pas soi-même ! Tout ça m'étouffe, j'en ai mal au cœur, du mal à respirer... paniquai-je.

   - Ton cœur s'emballe dès que tu le vois, à chaque fois que vous vous touchez sans faire exprès, tu explose ; dès qu'on parle de lui, tu rougis ; puis quand tu as réalisé qu'il viendrez habité avec vous, tu aurais encore plus de mal à te retenir de lui sauter dessus, n'est-ce pas ? m'interrompue-t-il.

   - Hein ?! Comment tu sais tous ça ?

   - Je sais tous ça car je ressens exactement la même chose pour Valérie. Tu es juste amoureux de Baptiste, coco !

   Son constat me bloqua. J'aimais Aze ? Non, je ne suis pas gay, je suis sortis avec plusieurs filles dans mon adolescence et je ne me savais pas attirer par les hommes... Mon esprit divagua vers autre chose, m'imposant des images de nous deux. Un sourire niais pontait sur mon visage. Bon okay, c'est peut -être vrai mais comment me faire pardonnez ?

   - C'est simple mon gars, prends soin de lui comme tu ne l'as jamais fait. Si tu veux bien de mon aide je peux le bloquer en fauteuils roulant pendant le mois qui suit et le déclarai non-apte au voyage, ce qui te permettrait de prendre le temps de t'expliquer.

   - OUI ! Oups pardon... J'ai pensé à voix haute ?

   Il me le confirma puis s'excusa car il devait partir. Mais je le pardonné, je lui en dois à ce gars ! Je rentrai dans la chambre et commençai à parler de tout et de rien à Aze. Il ne me répondit pas mais je savais qu'il m'entendait.

20 Juin, 15 Heures, sortie de l'hôpital.

   Je poussai le fauteuil d'Azenet vers la sortie de l'hôpital. Il n'y avait pas de grande amélioration entre nous deux. Mais il me disait bonjours quand on se réveillé et Bonne nuit avant de se coucher. Grégoire me fut d'une grande aide ces derniers jours. Il m'avait donné des infos sur Aze pour m'aider à me faire pardonner.

   - Puis tu verras Aze, on t'aidera dès que tu en auras besoin, puis on va passer du temps tous ensemble ! Comme au bon vieux temps, lui dis-je joyeusement.

   - Ouais, tu veux dire avant de me laisser tomber ! Ironisa-t-il.

   Sa remarque me stoppa et me fit perdre le sourire qui horné mon visage à cet instant. Enfin je le mérité bien... Mais mon cœur se serra. Je retiens mais larmes et je recommençai à le poussai. Bboy, Nems et Xari était là. Arrivé à la voiture, Bboy pris en charge Aze et Xari me prit dans ses bras. Je m'étais rapproché de Xari pendant ces dernières semaines, il était un peu devenu mon meilleur ami. Alors évidement je lui avais confié mes sentiment pour mon cadet, il en fut ravi. Je ne craquai pas, j'attendais d'être seul dans ma chambre. Le trajet se passa bien, enfin pour les autres qui bavardaient joyeusement ! Moi, j'avais la tête collé sur la vitre et je regardais les paysages défilaient. Quand nous fûmes arrivés au manoir, je m'éclipsai discrètement dans ma chambre, tout le monde étant venue accueillir Aze. Mes larmes avaient déjà commencé à couler dans les escaliers, mais une fois dans ma chambre, cela fut pire ; toute la tristesse que j'avais accumulée des dernier temps ressortaient.

   - Pourquoi... Pourquoi faut-il que je merde tout ce que je touche... Et pourquoi c'est tomber sur celui que je préfère... Sortez moi de se cauchemars... Arrachez-moi ce fucking cœur... J'ai trop mal... Pourquoi suis-je si con ?

Azenet

   Pierre disparut dès qu'on fut arrivé. Les gars étaient tous venus m'accueillir. Zera se jeta carrément sur moi, me faisant gémir de douleur. Il s'excusa en se dégageant tout de suite.

   - Ne t'inquiète pas Adrien, tout va bien tu t'es juste appuyer sur mon genoux, rigolai-je.

   - Excuse nous Baptiste...

   - Vous excusez de quoi les mecs ? D'avoir soutenue un frère qui était juste à coté de vous ? Non, ne vous excusez pas, j'aurai fait pareil, les consolai-je. Bon maintenant... Aidez-moi à monter à la maison car dans mon fauteuil, c'est peu pratique, rigolai-je.

   D'un coup on entendit Xari jurait et se précipité en haut. Mais pourquoi ? Bon c'est pas grave je vais profiter de se soir et je verrai demain. Mes pensées divaguèrent vers quelque chose de plus important. Comment j'avais réagis à ce que m'avait dit Pierre. Bon ok c'était pas sympa... Bah au pire t'aurais dût lui dire d'aller se tuer, ça aurait rien changeait ! Mais exagère quand même pas ! Je lui ai pas dit ça... Ça aurait rien changé, tu as bien vus qu'il est mal de se qu'il t'a fait ! MAIS STOP ! Bon bah excusez-moi chers lecteur, mon propriétaire de crotte ne veux pas se résonnai bye ! Attends reviens, de quoi tu parles ? Conscience ? Bon bah merde... Faudrait peut-être que j'aille m'excuser... J'étais un peut emmerder par les escaliers. J'attendis que Fuka et Nems passent dans le coin pour me faire transporter là-haut.

   - T'inquiète pas frère, puis si tu as besoin, on est là ! Rigola Nems.

   - Merci les gars...

   Fuka me lança un regard d'encouragement alors que je toquai à la porte d'Aymeric. N'ayant pas de réponses j'appuyai sur la poignet. Je pus apercevoir Xari suppliai Pierre d'ouvrir la porte de la salle de bain. Je posai ma main sur son épaule, le faisant sursauter, et de lui dire que je m'en occupais.

   - Pierre ? C'est... c'est Aze... Tu peux m'ouvrir, s'il te plaît ?

   - No-on... Je peux pas... Je veux pas...

   - Pourquoi ? Tu as peur de quoi ?

   -J'ai... J'ai peur de faire quelques choses qui vas te blesser et tu vas me haïr encore plus, sanglotait-il. Je... Je suis désolé Aze... Je ne voulais pas te blesser... Je... Tout se que je touche ou ce que je veux tourne mal... Je t'en prie pardonne-moi...

   Pierre ne pleurait jamais, ou sans une bonne raison. Mon cœur s'accéléra par peur qu'il fasse une connerie. Je ne voulais pas qu'il finit comme moi. Je tambourinais comme un forcené contre la porte et je disais son prénom. Quand un clic sonore se fit entendre, m'indiquant que la porte venait de se déverrouiller.

   - Pierre, regarde-moi... Pierre... AYMERIC REGARDE-MOI MERDE ! (Il leva les yeux vers moi) Pierre... Je m'excuse... Je ne te laisserais pas tomber... Je suis tellement désolé... Pierre je... Je t'aime... Si tu veux que je parte tu peux... Je comprendrais...

   Il releva sa petite tête larmoyante qui était barré d'un sourire joyeux. Il s'approcha de moi et alors que je m'attendais au pire : coups hurlement, gifle... Il fit quelque chose de surprenant : Il m'embrassa.

   - Je t'aime aussi Aze. Comme un fou... murmura-t-il.

   - Pince-moi, je veux savoir si tout ça et réelle.

   Il me regarda de travers et je lui jurai que je lui expliquerais plus tards, après avoir savourai ces moment de magie.

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Damm les gens! Comment vous allez ? Moi ça va mieux. J'espère que ça vous plaira. Y en a un deuxième qui arrivera dans la semaine. Et je vais prendre des chapitres d'avances pour ne plus vous laissez sans rien ;) xD

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