Two-Shot : Aynet

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De Pierre :

Salut Aze, comment ça va ? On se demandait si tu étais d'accord pour vivre avec les autres Patrick dans un grand manoir ?

À Pierre :

Hey Pierre, Comment ça ? :)

De Pierre :

Bah, en faite avec Bboy, Nems, Bill et Harry, on a pensé à acheter un manoir pour tout les Patrick et on voulais savoir qui y viendrais y habiter ou qui viendrait de temps à autres ? xD

À Pierre :

D'ici combien de temps vous pourriez l'avoir ?

De Pierre :

Bah... Entre deux à trois semaines.

À Pierre :

Je pourrais emménager dans quatre mois, le temps de finir mes études et de passé mon diplôme.

12 Juin, 17h30, Jour 1.

    Ces messages remontent de quatre mois et aujourd'hui, j'emménage au Manoir. Seulement en quatre mois, certaines... petit choses ont changé. Du jours au lendemain, Pierre a arrêté de me parler. Sans aucunes explications. Tout les autres m'ont dit de ne pas m'inquiétai. Alors pourquoi chaque fois qu'on fait un Skype, quasiment personnes ne veut mettre la caméra ? Où que des que je veux parler à quelqu'un qui n'est pas, tout «saute» ? Alors que le taxi arrivait dans la cours, je stressé. Puis je distinguai des silhouettes, une dizaine même pas. Je descendit et fis face à ceux qui était présents. Fuka, Bboy, Zera, Nems, Harry et Bill.

   - Yo mec, comment ça va ? me demanda Harry.

   - Ça va, ça va...

   - Où sont tes valises ? Tes meubles ne sont pas encore arrivé...

   - Je sais. C'est normal.

   - Quoi ?! Explique frère ? hurla Bboy.

   - Je ne m'installe plus ici. Je suis seulement venus régler des affaires et je repartirai.

   - Quoi ? Mais Aze, c'est pas... s'écria Bill.

   - Si et vous savez tous pourquoi ! Rentrons et profitons. Il ne nous reste pas beaucoup de temps.

   Ils me regardèrent bizarrement avant de baisser la tête, pour certains. On rentra et les autres tardos étaient là. Shorty et skyyart me sautèrent dessus, ce qui me fit rigoler. Puis tous veinèrent me passer le bonjours.

   - Salut Batiste comment...

   - Ferme ta gueule Pierre. Dis-je froidement.

   Mes mot semblèrent tous les surprendre ; je n'en avais rien à foutre, ils m'avaient tous abandonner. Donc pas de cadeaux.

   - Aze, pourquoi tu... commença Aymeric.

   - Pourquoi ?! Car ne plus me parlai depuis trois mois et revenir comme une fleur, je dis non. Va te faire voir, toi et tout les autres. Hurlai-je.

    Tous me regardèrent, surpris de ma réactions. C'est vrai que je leur avais jamais crié dessus. J'en avais rien à faire. Je pris mon sac et montai jusqu'à une chambre où était inscrit sur une porte « Invité ». Je fis claquer la porte pour leur faire comprendre que je ne voulais pas les voir. Je devais aussi passer un coup de fil.

   - おはよジュィさん!

   - Salut Aze, ça va bien. ?

   - あい。わたしはAypierre 行きませんでした.

   - Aze ne parle plus en japonnais et explique moi de suite !

   - Il est revenue comme un fleur et je leur est crié dessus car...

    Quelqu'un toqua à la porte me faisant taire, je dus alors m'excuser envers ma cousine avant de raccrocher. Puis la personne qui avait frappé entra. C'était Bboy. L'un des seuls qui ne m'avait pas laissé tomber.

   - Salut frère, hésita-il.

   - Tu peux avancer, je te jure que je ne vais pas te lancer de chaussures ni autre objet, Quentin, rigolai-je.

    Il se jeta littéralement dans mes bras. Avant de s'effondrer en larmes.

   - Bboy ?! Qu'est-ce qui se passe !

   - On s'est disputé avec Nems... Il trouve que je parle trop de toi, à m'inquiétai... Mais... Mais... sanglotait-il.

   - Bboy, vous ne leur avez pas parlé de tout mes... Problèmes, n'est ce pas ?

   - Non Aze, en plus tu nous a promis que tu as arrêté, donc non... Montre-moi tes avant-bras, batiste !

    Je soupirai, sachant déjà qu'il serai soulagé mais pour eux savoir que je ne faisais plus rien depuis un peu plus d'un mois. Il inspecta mes bras à la recherche de marque nouvelles de lames. Car oui je me suis scarifié après le changement de Pierre. J'en ai finis à hôpital. Voilà pourquoi Bboy, Bill et Harry sont si inquiet pour moi.

   - Dieu merci... Comment va Julie, Azou ? Rigola-t-il, me faisant rougir.

   - Y a qu'elle qui peut m'appeler comme ça Bboy ! Mais elle va bien, elle est de retour à Paris, super contente d'avoir vu ses grand-parents.

   On continua à parler un petit moment me faisant retrouver le sourire. Mais la disputes des deux tourtereaux n'allait pas s'arranger comme ça. Je me devais alors me démerder à coincer Nems un peu plus tard dans la soirée. C'est Bill qui nous demanda de venir manger, et c'est aussi lui qui me donna l'opportunité de parler avec Nems en nous donnant à tout les deux la tâche de faire la vaisselle.

   - Nems...

   -Quoi, Azenet ! Bboy n'as pas les couilles de venir me dire lui-même, que nous deux s'est finie ? J'espère que vous vivrez tout les deux ensemble...

    Je le giflai. Il me regarda les yeux exorbité sous la surprise.

   - Nems, Antoine plutôt. Bboy t'aime comme un fou ! Alors ferme-la s'il te plaît et écoute-moi, veux-tu ? (Il hocha la tête) Si Quentin est si inquiet pour moi, se n'est pas parce qu'il m'aime. Enfin si, mais comme un petit frère ! Tu sais, ces derniers mois... Je n'ai pas étais au top et ton copain et deux autres sont au courant, alors Nems, tu va courir en haut le prendre dans tes bras ; regardes aussi s'il n'as pas fait de conneries ! File, laisse-moi la vaisselle.

   Il me prit dans ses bras en me remerciant, avant de disparaître pour aller voir sa moitié. Je soupirai. Puis quelqu'un se saisit du torchon ; je tourna la tête : Aypierre. Je poussai un nouveau soupir. On termina la vaisselle ainsi, lui me fixa et moi me retenant. Oui, me retenant de lui sauter dessus, sur ses lèvres roses... On mit un film reposant, sous ma demande appuyé par d'autre tardos, disant que je devais être fatigué.

5 Heures de matin, jours suivant.

   Mon réveil sonna, me réveillant et me tirant d'un merveilleux rêve. Plus que trois jours. Je me levai, me lavai et pris la voiture de Nems pour aller la ville. Direction le patron.

8 Heure 30, devant Baletex Industrie.

   Je me tenais là, devant la grande entrée de cette entreprise qui commencer à faire parler d'elle. Direction mon bureau, puis réunion, et on rentre pour manger à Midi, puis Laser Games et diner.

   - B'jours Patron, comment ça va ? Vous êtes ici pour combien de temps ? Me demanda Valérie.

   - Hey Miss, je vais bien et toi, tu es as combien de mois ? Et ton homme ? Je suis là pour trois jours encore, juste pour finalisé l'unité de Tokyo et Julie reprendra la main après.

   - Écoute, sept mois, Grégory va super bien, il fait la chambre pour Bébé, dit-elle.

   Je la remercia et alla directement dans mon bureau pour voir le courrier et les mails.

10 Heure pile, salle de réunion, Baletex Industrie.

    Je rentrai dans cette salle immense ou m'attendait mon équipe entrain de rigolé. Tous quasiment plus âgés que moi, enfin presque, ils me regardaient d'un œil paternels.

   - Salut Aze, lançèrent-ils en même temps.

   - Hello tout le monde, j'espère que vous êtes en formes car la réunion doit être bouclé dans deux heures.

    Ils acquiescèrent en cœur et la réunion commença. Tous me présentèrent leur divers projet de code, jeux éducatif, etc. Je posai les règles pour tout ce que nous avions choisis pour qu'ils travaillent à les finalisaient pour Vendredi, dans deux jours. Je me dépêchai de partir pour arriver à l'heure pour manger à la maison. Une fois dans la voiture, j'envoyai un message à Bill pour lui dire que je partais.

12 Heures 30, Manoir des Patricks.

   J'ouvrais la porte, les bras remplis de dossier et de jeux à coder. Harry m'attendait en souriant devant son téléphone. Je le surpris en rigolant devant sa face niaise.

   - Alors Aze, besoin d'aide ?

   - Oui si tu veux bien aller foutre se bordel dans ma chambre, le temps que j'aille me laver les mains et que je dise à Bill que je suis ici.

   - Pas de problèmes frère ! Mais dépêche, j'ai faim.

    Il me fit rigoler. Je l'entendis râler quand son téléphone émis un petit Bip indiquant qu'il venait de recevoir un message. Puis j'allai dans la cuisine ou se trouvait d'autres Tards.

   - Coucou Aze, bien dormis ? Le réveil a pas était trop dur ? Me demandai Bill

   - Non, pas pour ça. En plus vus que je me suis couché tôt, j'ai pas eu de mal.

   - Et la réunion, vous avez finis ou tu y retourne demain ?

   - Non, ils ont bien travaillé, j'ai juste à coder se soir et demain matin et tout sera ok pour Juju. Les produit sortiront dans deux semaines si tout se passe bien, sourai-je.

   - Attendez... Je suis le seul à pas comprendre ou quoi ? Pourquoi vous parler de truc chelou ? Lança Fuka.

   - Rien qui ne vous concerne Fuka, ça ne regarde que moi et quatre autres personnes ! Répondis-je froidement.

   - Aze ?! S'écria Pierre. Mais qu'est ce qui se passe ? Depuis quand tes affaires ne regarde que toi ?

   - Depuis que c'est moi qui m'occupe de ça et que ça n'as aucune répercutions sur la maison ! Criai-je.

   - SI, ÇA NOUS REGARDE ! ET PUIS POURQUOI TOUT SES SECRETS ? UNE COLOCATIONS NE PEUT PAS VIVRE AVEC DES SECRETS !

   - DE TOUTE FAÇON CETTE COLOCATION, J'EN FAIS PAS PARTI ET JE N'EN FERAI JAMAIS PARTI VU COMMENT TOUT SE PASSE EN CE MOMENT !

   Ma phrase jeta un froid dans la cuisine. Tous me regardais ne comprenait pas sauf Bill. Puis le repas fut prêt.

14 Heures, Laser Games, construction des équipes.

    On venait d'arriver et les équipes commençait à se faire. Bill, Bboy et Harry était déjà dans mon équipe. Bboy était entrain de convaincre Nems de venir avec nous :

   - S'teu plaît Nems, viens, je te jure qu'on va gagner ! Supplia Bboy.

   - Mais non, Bboy vous avez aucune chance, vient dans notre équipe, on est un plus grand nombreux et expérimenté, rigola nems.

   Le regard de Bboy changea, il se durcit. Il se libéra de l'emprise de Nems et viens nous rejoindre avant de dire à Max que les équipes étaient faîtes. Max était mort de rire, sachant pertinemment que nous allions gagné : c'est mon entreprise qui l'avait construit !

   - Okay donc si tout est prêt... Bleu : Aze, Bboy, Harry et Bill, à droite, le reste à gauche en Rouge.

   Une fois changeai, j'expliquai à mes coéquipiers comment faire, quelle tactique adopter et qui tué dans l'ordre, puis je leur tendis leur oreillettes prise dans le placard à coté de nos tenus ainsi que leur laser. On se déplaçait silencieusement, maîtrisant notre respirations pour ne plus l'entendre et on se mit en chaussettes. Puis le carnage commença. Guidant les autres à travers le première étage, je leur fis signe de s'arrêter et d'écouter.

   - Bon Souls et Nems vous resté ici, Tout le monde se divisent en deux et bouge.

   J'entraînai mes amis dans un coin ou personnes ne pourrait nous entendre :

   - Bon Harry et Bboy vous suivez Aypierre et son coéquipier. Bill et moi on s'occupe de Nems et Souls puis oreillettes, okay , les questionnai-je.

   Tous aquicièrent. Je passai devant, talonnait par Bill. On descendit les marches, sautant les deux dernières, étant faîtes pour grincer quand des gens marchaient dessus. On tourna à gauche et ils apparurent. Bill tira sur Souls alors que, simultanément, je tirai sur Nems.

   - Nems et Souls, éliminé au bout de 60 secondes de jeux.

   Ils nous regardèrent surpris. Puis la voix résonna encore.

   - Unster et Newtiteuf, éliminés au bout de 1 minute 4 secondes de jeu.

   - Aze, Bill, vous nous recevez ?

   - Oui Bboy, que se passe-t-il ?

   - Aze, Pierre est avec Jiji, ils reviennent vers vous on s'occupe des autres pendant que vous faîte la « bote secrète », rigola-t-il.

   Je ne lui répondit pas, de un ça ne servait à rien et de deux des voix se faisait entendre. Je fis signe à Bill de partir devant et que j'allai les attendre. Je dus attendre cinq minutes avant qu'ils ne me voient, ce qui était largement suffisant à Bill pour être à sa place. Je courus à mon tour, sautant trois marches par trois marches et rejoignit Bill. Deux minutes plus tard, les marches grincèrent, nous indiquant que nos adversaire montaient, quand ils apparurent, ils n'eurent pas le temps de tirer qu'ils étaient déjà mort. Pendant se temps, Harry s'était fait touché. Mais ils avaient tué quasiment tout le monde.

   - Bboy ? Bboy, tu me reçois ? Bboy si tu peux pas répondre un bip oui, pour non deux, comme d'hab !

Un bip

   - Tu poursuis Fuka ?

Deux bip

   - Zera ? Ils se sont séparé ?

Un bip puis un autre espacé de deux secondes.

   - Ok, rapatrie le dans le salon ! On va faire un deux contre deux !

   Bill me regarda super bizarre, car il ne savait pas se que c'était, je lui expliqué vite fait en chemin. Arrivé au salon, on distingua Bboy entrain de parler avec Zera.

   - Mais je te jure frère ! Je veux les lâchés !

   - Quentin ?! Mais qu'est tu fais ? Tu le bordel ! Cria Bill.

   - Nan mais je peux vous tuer, vous !

   Il me tira dessus mais son tire ne désactiva qu'une partie. Puis Fuka se montra enfin. Je regarda Bill qui me fit signe qu'il avait était touché et que c'était finis je le remerciai d'un mouvement de la tête.

   - Allé les gars ! On peut le tué et vous pourrais me tué après !

    Dans un miroir en face de moi, je vis Fuka et Zera et hésité mais je les vis le vers leur laser pour exécuté Bboy. Tout marcher.

   - Bon, vu que vous aller me tuer je veux juste vous dire... Échec et mat ! Va-t'en Aze. Et courage on croit en toi.

    Je me levai et lui hurlai qu'il n'avait plus le droit de parler car il était mort, tout ceci en courant. Je levai la main pour saisir un barre et me soulevai Pour rester bloquer en hauteur mode chauve-souris.

   - Il peut pas être loin Adrien, c'est un cul de sac.

   - T'inquiète pas Thomas, on va la gagner cette partie.

   - Bon courage pour me trouver les mecs, dis-je couvert par l'écho.

   Je les regardai tourné la tête pour me trouver. J'enclenchai mon fusil et les tuai tout les deux. Puis une fois les lumière rallumés, je descendis de ma cachette sous les yeux ébahis des deux fous.

   - Attend mais, c'est pas vrai ! Comment t'as fais Aze ? Tu...

   - Je quoi, Fuka ? Finis ta phrase ? Je suis trop faible pou gagner ? M'énervai-je. Putain mais vous me croyez capable de rien ou quoi ?

   - Attends Aze, c'est ... C'est pas se que je voulais dire... Je me suis...

   - Aze téléphone, c'est Julie. Elle veut te parler de la structure des bureaux, me dis Max.

    Je leur tournai le dos vivement et me dépêchai de partir pour ne blesser personnes. Une fois le téléphone en main, je pus me défouler.

   - Quoi ?! Criai-je.

   - Calme-toi. J'ai vu la parti Aze. Et je sais exactement se qui vient de se passer. Alors tu te calme. Si tu veux partir je peux venir m'en occuper à ta place et je t'envoie ce que tu dois coder !

   - Oui Juju, excuse-moi je prépare mon sac et... Je peux loge chez toi ?

4 Juin, 8 Heure du matin, le manoir.

   - Tu es sur Batiste ? Tu veux pas rester un jour ou deux de plus ? Me demanda Bill.

   - Oui prenez soin de vous, les fréros, je vous enverrai des lettres et on ferra des Skype, okay ? Dis-je la vois cassai.

   - Quand tu veux Aze, mais tien prend sa. me dit Bboy en me tendant un disque. C'est une vidéo qu'on a faite pur toi, e tout les trois je te jure.

    Je me retiens de pleurer et je les serrai dans mes bras. Ils allaient me manquer. Une fois installé dans le taxi, je sortis mon ordinateur et déclenchai la vidéo. C'était un montage de nous quatre quand on se voyait.

    - Coucou Batiste, c'est nous ! C'est fait exprès pour toi. Tu sais frèro, se que j'aimais chez toi, c'était ta face cacher. Maintenant on peut plus dire que tu as besoins de nous. Te voilà Patron d'une boîte qui prend son envole. Malgré tout ça, Aze, tu sera toujours notre codeur de l'extrême et petit trésor des Patricks, dit Bboy malgré sa voix qui se cassais. Regarde dans quel état tu met Bboy, Batiste ! Enfin on est tous entrain de pleurer, car on sait tous pourquoi tu es parti. Mais sache que jamais on ne doutera de toi, tous les trois, soupira Bill. Si un jours, on ne sais jamais, tu veux revenir on en serai ravis. Je veux que tu sache que je prendrai soin de Bill et de Quentin, Aze. Mais donne nous des nouvelles de temps à autre, et jure-moi qu'on se refera des Games ensembles et qu'on se verra toujours Aze ; tu sais tu es notre rayon de soleil, sanglota Harry. On va te laissai Aze, tu dois voir quelqu'un d'autre.

    Je fronçais les sourcils. Qu'est-ce que tout cela voulais dire ? La question resta en suspens quelque minute car je dus descendre du taxi pour entrai dans l'aéroport. Mon vol n'était que dans deux heures donc j'avais le temps. Brr Brr.

De Pierre

« Aze, tu es où ? »

À Pierre

« Quelque part ou tu ne pourras plus me parler ni me voir »

De Pierre

« Aze, s'il te plait, tu es partis comme un voleur ce matin et tu ne nous as même pas laissai le temps de te dire en revoir!:( »

À Pierre

« J'ai dis au revoir aux personnes qui était levés ! Et puis de toute façon Pierre, tu es l'une des personnes que je ne veux pas voir en se moment ! Tu m'as trop blessé... »

De Pierre

« Je... Ne me dis pas que c'est vrai... Es-tu à l'aéroport Aze, tu veux vraiment partir ? »

À Pierre

« Oui, car ici tout le monde me crois incapable donc je dois partir pour me remettre les idées en place ! »

    Il ne me répondis pas. Le doute était présent au plus profond de mes entrailles. Allait-il ne plus me parlait, encore une fois ? De toute façon, sa ne changera plus rien a partir de maintenant. Il ne me reste qu'une heure avant de pouvoir monter à bord de l'avion, je décidai donc d'aller m'acheter un truc pour manger. Alors que je cherchai de quoi me nourrir, je crûs voir quelqu'un qui me coupa directement l'appétit, Aymeric. De toute façon, mon vol venait d'être appelé. Je me précipitai devant la porte d'embarquement de peur de faire demi-tour. Une main me saisit fermement le poignet.

    - Aze, part pas... s'il te plaît... souffla une voix que je connaissais que trop bien.

   - Et pourquoi Pierre ? Ça me servirais à quoi de rester ? Je n'ai plus ma place ici !

    Il me regarda incrédule, ne comprenant pas. Il tomba à genoux et il avait du mal à respirer. Je me m'étais à paniquer. Puis je me rappelai que j'avais toujours de la ventoline dans mon sac pour ses situations. Je la lui apportai au visage et le laissa inspirer. Un petit groupe de personnes avait tourné leur regards vers nous.

    - Aze...

    - Non, s'il te plaît, tait-toi... Je t'en supplie... Il faut que tu comprenne... Je dois et je VEUX partir... j'en ai besoin... murmurai-je.

    - Mais moi, je ne veux pas que tu partes. Je ne peux pas te laisser partir... Ça me détruirai... prononça-t-il sur la même voix que moi.

   Je vis rouge. Comment ça, sa le détruirai ?! Et moi dans l'histoire je compte pas ? Mon cœur n'as pas le droit d'être heureux ?

   - Tu n'est pas sérieux Pierre j'espère ! Et moi dans l'histoire, t'en a quelque chose à faire ? Non parce que faudrait savoir ? Tu ne me parle plus pendant quatre mois, QUATRE FUCKING MOIS ! ET TU REVIENS COMME UNE FLEUR ; TU ME SUPPLIES DE RESTER MAIS À QUEL MOMENT TU VA TE RENDRE COMPTE QUE TOUT ÇA ME FAIT SOUFFRIR ? J'EN AI MARRE !

    Je pleurai, je ne voulais pas mais elles coulaient toutes seules. Je voyais trouble. Je n'avais rien mangé depuis hier midi. J'avais juste grignoter hier soir avant d'aller me coucher et ma tête me balançais. Quelqu'un me fit m'asseoir et m'apporta quelque chose à manger mais je le posai à coté de moi

    - Mange Aze, il faut que tu manges.

    Je secouai la tête puis je commençais à sangloter. J'avais si mal au cœur, il battait si vite. Aypierre me colla à son torse en me répétant que tout irai bien. Puis je réalisai que j'avais loupé mon vol. Je devais donc rentré au manoir. Mais bizarrement, ça ne me dérangeais pas. Pierre me porta jusqu'à sa voiture et me ramena là-bas.

14 Heures, au manoir.

   Bill et Harry nous attendait. Pierre les avait appelé pour leur dire que l'on rentrez tout les deux. Bill me prit dans ses bras, laissant son petit-ami aidait Aypierre à se garer. Il me demanda si j'avais faim et je lui fis signe que non. Le builder allait me lâchai lorsque Pierre intervient :

   - Bill, il doit manger, il a failli s'évanouir à l'aéroport. Je vais l'y amener si tu veux Billou, lui lança-t-il.

   - Ok, mais fais gaffe à lui, lui répondit Bill après m'avoir regardé.

   Je lui fis les gros yeux je ne voulais pas. Je ne voulais plus m'approchai de cet homme qui m'avait tant fait souffrir. Pierre me fis entrai dans la cuisine ou il n'y avait aucun bruit il me fit m'asseoir sur l'un des siège du bar. Puis il commença à cuisiner.

   - Salut Aze, je sais que tu ne va pas vouloir m'écouter mais je t'en supplie laisse-moi t'expliquer mon comportement de ses derniers temps. Il y a trois mois et demi, si j'ai arrêté de te parler, c'est parce que j'étais perdu. Perdu dans mes sentiments. En faite, je crois que je t'aime. Enfin la maintenant, j'en suis sur. Mais je doute que tu partages mes sentiments. Je voulais juste m'excuser de mon comportement Baptiste. Je t'aime Azenet. À la prochaine... dit-il. C'est le message que j'ai enregistré pour la vidéo Azenet. Je ne sais pas si...

   - Je ne l'ai pas écouté je n'ai pas pris le temps. Mais... Mais moi aussi je t'aime Aymeric.

   Il se tourna vers moi et fis le tour du bar avant de me prendre dans ses bras. Il glissa sa tête dans mon cou où je pouvais sentir ses larmes se glissaient sur mon corps. Je releva sa tête et l'embrassai. À mon plus grand bonheur il y répondit.


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YOOOOOOOO, pour la deuxième partie je sais pas encore Bad ou Happy end ??? Bisoussssssssssssss

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