Chapitre 10- Cauchemar

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Mathias...

Vincent et resté dormir toute la nuit. J'étais réveillé depuis deux heures déjà. Quand je revint dans ma chambre pour le réveiller, je le retrouve tout tremblement. Il avait le souffle haché et des gouttes perlaient son front dans son sommeil. Ses joues étaient rougient par ses bouffé de chaleur et il se débattait dans la couverture.

Vincent:

Je faisais encore ce rêve, enfin ce souvenir. Souvenir enfouit dans mon inconscients...

-Maman ! Lâche moi !

Cette fois encore, j'avais crier sur mon père car d'après moi : on ne trompe pas sa femme avec LE jardinier. Ma mère me tenait par le bras et me tirait vers le sous sol.

- Tu sais qu'il faut toujours obéir à ton père, ma mère pleurait. J'en ai marre de devoir faire ça ! Enlever cette arme de là ! Trouvez vous ça juste ?!

Un garde avait une arme sur la tempe de ma mère, il baissa la tête honteux.

- Je ne le fais pas par plaisir non plus.

Père avait pour moi une torture bien spécial. Il ordonnait à un garde d'obliger ma mère à m'enfermer dans la cave et de m'en sortir qu'après m'avoir assoiffé et affamé. Cette fois là, mon père avait mis dans un verre un délirant. C'était un poison pour le cerveau qui perçoit alors différemment le monde. Et quand ma mère était venu me chercher, les effets du poison était si fort que je vis mon père à sa place. Fou de colère et croyant voir mon diable de père, je sauta sur ma mère et lui inflige des coups mortels. Après quelques minutes de massacre, Père me stopa et me donna l'antidote. Je vu alors le visage livide de ma mère coucher sur le sol.

-  Regarde ce que tu a fait? Tu n'es qu'un monstre.

- Quoi ?! C'est toi qui donne a ton fils de 13 ans un délirant et c'est moi le monstre!?  dis-je les larme aux yeux et le regard posé sur l'horrible image que je m'infligeais à voir.

Peut après, le jardinier ne revint plus chez nous. La mort de maman a été suivi d'une enquête judiciaire. Les policiers n'ayant rien trouver bouclèrent l'affaire...

- Tu es un monstre ! Tu as tuer ta mère Vincent! Tu m'écoute ? Vincent ! Vincent ?

- Il a de la fièvre.

~~~~

- Alice une serviette mouillé, Anne une tisane ! Ça t'apprendra à rester tout le temps dehors avec Toby.

Des voix me font émerger de mon cauchemar. En ouvrant les yeux, je sentis quelque chose de froid et agréable sur mon front. Je me mets sur les coudes et une main se posa sur mon épaule.

- Yo, dit Toby en souriant.

Je pousse sa main et me met assis. Tss, que fait il encore là lui ?!

- Non, non. Le blondinet m'a ordonné de t'empêcher de te lever. 

- Depuis quand obéit tu as quelqu'un ?

- Depuis que cette personne m'enferme ici en disant : "Je dois parler à monsieur King en paix".

Je regarde le plateau poser sur ma table de chevet. Une tisane, trois croissant, une rose et un papier froissé. "Tu devrais arrêté de parler en dormant. Je dois savoir si tout ça est vrai maintenant. Ps : merci à Toby pour la confirmation de la mort de Mme. King, et je suis là." était écrit à la main sur le bout de papier.

Je me lève d'un coup et essaye d'enfoncer la porte.

- Il a enfermé chaque domestique dans leur chambre. J'ai entendu leur appelle à l'aide d'ici. 

- Dans quel pétrin c'est il fourré ?! 

- Dans le tien, dit mon compagnon de cellule en sortant un paquet de cigarette. Il va essayer de te venger. Si il ouvre la porte, c'est qu'il a réussi, non non.

- Mais père ne devait pas rentrer bien plus tard ?!

- Hier Mathias l'a appelé en disant que tu avais une sorte de fièvre. Et ce matin, il nous a enfermé ici.

- H-hier ?! J'ai dormis...

- Deux jours.

Merde ! Il faut que je sorte ! Que va il faire encore ?

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