Toby alla se coucher très tard. Nous avons tant parlés du passé que je ne lui ai pas demandé pourquoi il était venu chez moi? La chambre de Mathias était grande ouverte quand je suis monté, peu après Toby. Voulant voir si il m'en voulais pour l'avoir laissé contre Toby. Je me pencha tout d'abord pour voir si il dormait. Et là, à quelques centimètres de mon "amant" endormi se trouver Toby.

Sans trop faire de bruit, je le tire hors de la chambre et le plaque contre le mur du couloir.

- Maintenant que tu t'es rincé l'oeil, dis moi pourquoi tu es venu ici?

- Pour me rinçer l'oeil justement. Tu sais que j'étais à cette vente, j'avais dans ma poche assez pour écarter tout le monde et prendre ce petit tellement mignon. Puis, tu es arrivé avec ton prix de richissime fils d'homme d'affaires et tu l'a eu, injuste. Non?...

- Comment as tu su que c'était moi?

- Alice portait la veste que je lui avais donné. Elle m'a toujours appréciée.

Je le lache et il me sourit ,un sourire sadique qui me fis frissonner de dégout.

- Demain, tu dégages dis-je d'un ton sans appel.

- Je crois pas non, il se penche vers mon oreille. Se serrait dommage qu'il sache ton secret.

J'ouvre grand les yeux. Il n'oserait pas ? Si ?

- Maintenant que tu as arrêté de te prendre pour le chef, remarque-il en allant déposer un baisers sur la joue de Mathias encore endormi. Tu vas te faire un plaisir de me laisser jouer avec ton nouveau jouet "sexuel". On a toujours tout partager après tout.

Il parti dans sa chambre, me laissant seul devant celle de Mathias. Je m'en gouffre dans cette dernière, ferme la porte et me met à côté de son lit. Comment vais-je faire ? Mathias ne doit pas savoir se secret, mais je ne peux pas laisser Toby utiliser ça pour me faire chanter sa mélodie. Que faire... si je le dis au blond, il me détestera... mais si je ne le fait pas, je laisserai MON cher valet à Toby...

- Vincent, Mathias me regardais de ses yeux luisant de fatigue les cheveux en bataille et la voix encore endormi. Que fais tu ici à cette heure ?

Je le regarde, je savais que mon regard était triste et incompréhensibl , qu'il allait s'inquiéter. Mais est ce si mal de vouloir que l'on prenne soin de nous ? Je lui enlasse tendrement la taille. Il était ma bouée maintenant et je ne le laisserais plus partir.

- Si tu savais un truc très grave sur moi... resterais tu?

Je sentais qu'il était méfiant mais il finit par se détendre et me prit aussi dans ses bras.

- Je ne partirais jamais pour de simple dire... je resterais toujours ici à tes côtés.