Attention, un acte de suicide est définitif alors repensait à deux fois tout ce qui est écrit dans ce chapitre et une fiction est ne pas à refaire. abstenez-vous âmes sensible scène choquante pour les plus jeunes.

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Je vis alors une eau tiède et rouge. Et Vincent avec un ciseaux noir encore planté dans la vaine du poignet. je courus jusqu'à lui est m'abaissais afin d'être à la même hauteur est palpais son cou à la recherche d'un certain signe de vie de sa part, je constatais que le corps étant encore chaud il l'a fait il y a peu de temps. Les entailles était irrégulière, il a hésité entre une simple mutilation et la fin. Il a fait son choix.

Paniqué j'enlevais le bouchon de la baignoire. Et appelais Alice.

- Mon dieu! , elle paniqua. Appelons l'ambulance! 

- Ne t'affole pas ! Si il va à l'hôpital, sa famille sera mal vu. Passe la boîte à pharmacie.

Je sors un fil et une éguille. Je fis fais des points de suture comme Donald m'avait appris. Je lui apporte les premiers soin en priant. Je sors les ciseaux du sachet et le fait respirer dedans. Aller !Aller! respire crétin! 

- Mhhh....

Il respire, cligne des yeux. Je me mets à pleurer sans trop savoir pourquoi. Alice se cala dans la chaise et reprend son souffle soudaine pris d'une fatigue dû à la stresse accumulée  .

Je caline tendrement Vincent. Il baisse les yeux en baissant mon masque de sachet. Il me fixe intrigué.

- Comm- commence-t-il avant que je ne le coupe radicalement.

- Ta gueule!

Je lui donne des petits coup de poing sur le ventre. Je me suis mit en colère sans m'en rendre compte et le tape alors qu'il est encore faible. Mes larmes coulait et ma voix tremblait.

- Ça va pas ! Tu aurais pus éviter ça non ?! J'ai eu si peur... je...je...

Alice mit sa main sur mon épaule faisant arrêté mes coups de gamin en crise.

- Merci Mathias. Vraiment.

Elle regarda Vincent.

- Tu vois, il reste quelqu'un d'autre que ta mère pour te sortir de la baignoire. Alors fais tout pour qu'il n'ai pas à recommencer.

Ce fut la dernière chose qu'elle dit avant de partir en claquant la porte derrière elle.

Je suis resté aux côtés de Vincent. La tête dans mes bras je m'appuie sur le lit. À moitié endormi, je sens quelqu'un me isser sur le lit. Puis un baiser se posa tendrement sur ma joue. Je n'ai jamais eu aussi peur pour quelqu'un. Habituellement je ne faisais que guérir les gens sans jamais me dire que j'allais me sentir mal après leur mort. Je me sentais si bien avec lui.

- Eh, je lui caresse le visage encore endormi. Arrête, tu vas te fatiguer...

- Où a tu appris les premiers soins ?

- Étant faible et petit, je me blesse facilement. Et c'est la seul chose pour lequel je suis fort. Sinon je ne servirais à rien sur cette terre.

- Tu sers à bien plus de chose que tu ne le pense.

Je lui tourne le dos. Ses bras m'enlace et nous nous endormions ainsi mettant de côté les horrible et affreux secret que cache notre meurtri par le temps est nous nous laissions emporter par les doux et tendre bras de Morphée.