chapitre 6- Rapprochement

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Je sentis une pression sur mon bras. Mathias me tapotait le bras d'un geste doux.il était habillé d'un simple tee-shirt noir, et un jean noir sleam. Mh... si le haut n'était pas aussi long j'aurais une vu sur son cul moulé à la perfection.

- Vincent. Lève toi. Il est 6 heure. Ton petit déjeuner et prêt.

Je le regarde plus attentivement. Ses mèches blondes brillaient et ses yeux bleus petillaient.

- T'es beau, lâchais- je avec un sourire en le regardant avec insistance sur chaque parcelle de son si doux visage. Prit de surprise ses joues ce teintât de rouge, encore plus craquant.

Il rougie et alla vers la porte. Je le tira par le gilet.

- Viens.

Je me mets sur les coudes, il s'avance un peu. Et sans qu'il puisse se défendre, je le fais basculé sur le lit. Je l'embrasse passionnément et le pris par la taille de façon à ce qui soit bloqué, il rougit complètement et me poussa doucement.

- Tss, il détourne le regard. On a pas le temps... je crois que ton père t'attends. 

- Mh, je l'embrasse dans le cou. Ça veut dire que si on avait le temps tu me laisserais faire ? 

- Non, il me regarde dans les yeux. Je ne te laisserais jamais faire ça.

Une voix se fit entendre depuis les escaliers. Mon père.

- Mathi' ! Viens là! j'ai besoin de toi...

Il roula jusqu'à ne plus être sous moi. Son gilet était légèrement froissé et il avait les joues rouges pétant. Mignon. Il se dirigea vers la porte et je le retiens encore une fois.

- N'y vas pas sans moi.

- Tu es en boxers et c'est pas comme si ton père aussi allait me sauter dessus.

Et il partit sans me laisser lui repondre. Alice entre derrière lui.

- Il faudrait que tu lui dise que la vente à la quelle il était, était une vente "d'esclave sexuelle"avant que ton père ne le lui dise.

- Père ne ferait pas ça. Il est mâture. Et en plus je l'ai acheté là bas parce que ça coûtait moins cher...

- C'est dérisoir, dit Alice avec un gloussements.

Elle prit la trousse de secours qu'elle avait oublié la veille et partie.Je me mis à observer mon poignet encore bandé , ça sera difficile de le cacher pensais-je. Il faut que je remercie Mathias pour ça.

Je me dirige vers les vêtements qu'il m'avait choisi. Un pantalon noir avec une chemise blanche. Classique. Après un moment, je descend pour le petit déjeuner. 6h45 déjà ?

Math' se tenait droit comme un "I" à côté de ma chaise. Il était pâle et fixait le mur. Je lance un regard à Anne, la cuisinière, qui passait et elle me répondit avec un haussement d'épaule.

- Pourquoi mon père te cherchait ?

- Je, il continue de fixer le mur. Je devais juste lui recoudre son pantalon beige...

- C'est pour ça que tu fais cette tête ?

Il me regarda avec des yeux rond.

- Je devais recoudre la braguette alors qu'il avait encore son pantalon sur lui. C'était TRÈS gênant.

Je me mis à rire de bon coeur !

- Mon père est tous sauf un pédophilie. Ne t'en fais pas. 

- C'était quand même bizarre, dit-il avec un air dégoûté.

Désolé père, le nouveau n'a pas l'air intéressé.

- Eh, j'avale un bout de ma tartine. Merci pour hier...

- De rien. Mais si tu pouvais ne pas recommencer?

Je fini mon petit déjeuner en silence. Ni Alic, ni Mathias ne me demande comment allait mon poignet. Et j'en fut soulager. Mais je savais qu'un jour il allait se demander pourquoi j'ai fait ça, pourquoi ma mère n'est jamais là, ect. Et un jour je vais devoir lui donner des réponses ...

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