( Non ce n'est pas une hallucination- J'ai bien écris un chapitre. )

Ewe, tu t'y attendais pas.

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- ... On fait quoi, maintenant ?

- On doit rechercher Axel Lowell, c'est la seule issue.

Shûichi remit sa casquette noire sur sa tête, et soupira.

- Ça s'annonce plus compliqué que prévu... Souffla-t-il.

- Tu me le fais pas dire ! Bon. Comment on retrouve Axel sinon ?

- Sachant que l'instigatrice déteste Haruto, ça devrait nous être facile de le trouver. Monokuma va sûrement nous mettre des indices sur notre route afin qu'on puisse arriver jusqu'à lui.

- Bah génial... Remake du petit Poucet.

Nouvel objectif : Retrouver Axel.

Nice.

Non sérieusement mec t'es où please ?

Il peut pas nous envoyer un papier du ciel disant : " Coucou les copains, je suis à l'étage chambre 69 " ?

Ah mais il est endormi donc il peut pas écrire.

Je suis con.

Mais la Reader m'aime quand même.

- Tu devrais te préparer pour le dîner aux chandelles avec (T/P), je ferais des recherches en attendant pour trouver où peut se trouver Lowell.

- Le dîner aux chandelles ! J'avais presque oublié. Tu crois que je devrais venir en costard cravate ou en short chaussettes-claquettes ?

- . . .

Saihara-chan se fit un faceplam intérieur.

- Va pour les chaussettes. Finis-je, désespéré par sa tête de blasé.

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- C'est bon le champomy !

- On s'en branle, Miu.

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- ... Je vais pleurer.

Kaede me regarda, émue aux larmes.

- Je ressemble à un cassoulet ou quoi ? Je suis moche ?

- Non, t'es magnifiiiiiique !

( Kaede : Ma besta cœur cœur jtm

(T/P ) : ... Appelez une ambulance.

Shûichi : Bonjour je suis l'infirmier. (~) )

Kaede m'avais faîte essayer une robe rougeâtre, assez longue.

- C'est un dîner aux chandelles, c'est pas la remise des oscars non plus râlais-je.

- Attends, pour une fois que tous se déroule comme prévu, tu vas ENFIN embrasser Kokichi. Tous le monde attends ça ! Fit-elle, en joie.

( Monotarô : J'avoue on attends depuis 3 siècles là !

Monophanie : J'ai bientôt plus de pop-corn !

Monokid : Le smack- On veut le smack.

Monokuma : Enfin ils vont se mettre en couple ces blaireaux !

Auteur : Vous voulez parier là-dessus ?

Tous le monde : . . . . EH AUTEUR DÉCONNE PAS STP. )

- J-J'ai pas pour but d'embrasser Kokchi ! ( Auteur : Mytho, on sait que tu rêves de lui. À 4h du mat on entends des bruits suspects de ta bouche et tu appelles son prénom- (T/P) : LAISSE MOI TRANQUILLE SATANAS. ) C'est quoi ce merdier ?!! Criais-je, extrêmement embarassée.

Kaede ria aux éclats.

C'est ça, fous-toi de ma gueule.

- Tu l'aimes et c'est sûr qu'il t'aime ! La prochaine étape c'est de se mettre en couple !

( Message à mon voisin qui est un enfant actuellement en train de crier à la mort.

... LAISSE MOI ÉCRIRE EN PAIX. Sinon je te fous dans un micro-onde.

Ça fera du gamin grillé.

Dabi (💘) : Je suis pas sûre de cette blague par contre.  )

- . . . Bruh.

Voila, c'est tout ce que j'avais à dire.

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- Et bah... Ils ont fait ça bien.

Je m'exclamais de surprise en voyant une table, des chaises, et une chandelle.

Ah clairement, je m'attendais à manger par terre avec eux.

Au ralentit dans ma tête, Kokichi arrive.

Je prie intérieurement pour ne pas qu'il tombe sinon ça va ruiner tous le spectacle.

- Hey, beauté~

... Il va me proposer une glace à la menthe tant qu'on y est ?

- Bonsoir. Fis-je.

- Sois pas aussi froide ! Sérieusement, tu es magnifique fit Kokichi en me détaillant de haut en bas.

- Et bien, merci beaucoup... Je détournais mon visage. T'es pas mal non plus.

Kokichi portait une simple chemise noire dont il avait retroussé les manches, avec une cravatte violette. Un pantalon bien moul- noir. Une ceinture à damier ( vas-y comment j'analyse tous tavu ), et des mocassins noirs.

- Et si on s'installait ? Me proposa-t-il en me tendant sa main.

- Bonne idée. Je commence à avoir la flemme de rester debout.

Je pris sa main délicatement.

Sa main est chaude, c'est... Agréable.

( Monokid : Dis tout de suite que tu veux le pécho, ça sera plus simple.

Kokichi : Dis tout de suite que tu veux me pécho, ça sera plus simple.

Tous les élèves du campus en arrière plan : Dis tout de suite que tu veux le pécho, ça sera plus simp-

T/P : OK VOS GUEULES )

Kokichi tira sur une des chaises pourque je puisse m'asseoir.

Ce que je fis car comme dis précédement, j'avais la flemme de rester debout.

Je m'asseois donc, et il poussa sur la chaise pour que je puisse bien être contre la table.

Sauf que je suis trop proche de la table et que maintenant j'ai mal aux poumons.

- Nishishi~

Je lui mets un coup dans les côtes.

( Kokichi : EH J'SUIS TON FUTUR BOYFRIEND ALORS ME TAPE PAS STP )

Kokichi s'installe également, face à moi, et me regarde.

Faisant une pose à la Monika.

( Rantarô : Bientôt il va chanter tu vas voir.

Kokichi : TOUS LES JOURS, J'IMAGINE-

Miu : UN DESSIN SANS NUAGEUUH !!

Rantarô et Kokichi : ...

Miu : Quoi ? C'est pas ça la suite de la chanson ? )

- (T/P) ?

- Oui ?

- T'es belle.

- ... Arrête, ça me gêne.

- Je sais ! Nishishi~ Kokichi prit ma main, et doucement, la caressa avec son pouce. Tu sais (T/P), t'es vraiment la plus belle et magnifique femme que je n'ai jamais rencontré dans toute ma vie, t'a une superbe personnalité, tu es forte, drôle, incroyable... Je ne saurais quoi dire de plus... Je te considère comme ayant toutes les qualités du monde. Fit-il, me donnant un regard attendri.

- K-Kokichi... Bégayais-je.

- KAITO DÉGAGE

- Alleeez Kaede, laisse-moi essayer ! Dit Kaito en se ramenant devant Kokichi et moi. Avec un... Violon.

Pourquoi voulez-vous faire de ce dîner un cliché ?

( Tenko : Car la vie est un cliché,honey )

- Maki, arrête-le pitié ! Il n'y a que toi qu'il écoute !

( Monokuma : On se demande bien pourquoi * tousse * )

- Non. Répondit-elle, froidement.

- S'il te plaît ! Implore une nouvelle fois Kaede.

- J'ai envie que ce dîner soit foiré. Je ne supporte pas Kokichi, et il ne mérite pas une personne aussi incroyable que (T/P).

( ARRÊTEZ TOUS LES AMIS

ON A ENFIN RETROUVER LA MÈRE DE (T/P), C'EST MAKI

À rajouté dans l'arbre généalogique de Kokichi et (T/P), avec leurs enfants etc. )

- Makiiii !! Kaede l'a regarda avec des yeux de chien battu.

- Tu te chutes.

Et l'astronaute ultime, de toute sa préstance ( Kokichi : C'est-à-dire, 0 ) joua de son violon.

... 

Vous voyez une vache morte ?

- Waouh, c'est- Essayais-je d'articuler.

- NUUUUUUL. PITIÉ ARRÊTE CE MASSACRE, MES OREILLES SAIGNENT ! Hurla Kokichi à Kaito.

Effectivement, c'était merdique.

- Bernard et moi, nous sommes déçus de ta critique, Kokichi.

- Bernard ? Soulevais-je.

- Mon violon s'appelle Bernard. Il méritait d'avoir un prénom.

- Je pensais qu'il s'appellerais Jean-Kevin.

- Plus sérieusement, qui est le con qui lui a refilé un violon ?! Rétorqua le despote.

Maki s'éloigna en sifflotant.

Après le massacre, Kirumi nous servis notre dîner...

Du poulet.

( Hawks Power~ :3 )

Je ne vais même pas décrire ce dîner,à part qu'il était succulant mais...

Entre Kaede qui nous filmait.

Maki qui lançait des regards noirs à Kokichi.

Miu qui lançait des blagues sexuelles.

Kii-bo qui nous jugeait.

Tsumugi qui écrivait des fanfictions sur nous deux.

Kaito qui établissait une conversation à sens unique avec Bernard.

Tenko qui voulait tuer Kokichi.

Himiko qui voulait me jeter un sort.

Korekiyo qui récitait un rituel satanique.

Et Shûichi qui bouffait du gruyère dans un coin.

Bah... Ç'aurait pu être mieux.

Surtout que la radio qui diffusait de la musique romantique s'est mise à lancer du Gilbert Montagné à un moment.

On a découvers que la cassette de la musique appartenait à Ryoma.

Ryoma serait donc un lover et un fan de Gilbert Montagné.

C'est beaucoup à encaisser.

Kokichi lui, il riait.

Et je riais aussi.

Au final, c'était pas si horrible.

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Tous : EH LE KISS ?!

Auteur : * Regarde un épisode de My Hero Academia * eh ?

Tous : Fais pas chier.

Auteur : * Ammène un poster de Kokichi à (T/P), que (T/P) embrasse * Voila.

Tous : . . . MAIS J'EN PEUX PLUS DE TOI- )

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. . .

. . .

. . .

. . .

Poisson grillé.

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Après ce « merveilleux » dîner, Kokichi et moi sommes allés nous promener dans le campus.

- Tu as l'air d'avoir froid. Me fait-il remarquer

- Non ! C'est juste que ma passion c'est de trembler ! Dis-je en grimaçant.

Kokichi ria de son rire habituel.

- J'aurais aimé te donner ma veste, mais je n'ai pas de veste sur moi.

- Ah ça c'est con.

- Par contre... Je peux faire ça !

Kokichi me fit se rapprocher de lui.

Il me réchauffa comme il peut, et ça marchais.

- ... Je t'aime lâchais-jes sans réfléchir, enveloppé par l'appaisement que m'offrait Kokichi en m'enlaçant.

- Attends quoi ?

- Je crois que... Je t'aime Kokichi Ôma.

( Auteur : Quoi ? C'était à Kokichi de le dire en premier ? )

- (T/P) ...

- Je ne sais pas pourquoi mais... Quand je suis près de toi, mon cœur bat vite, je me sens étrange, comme fiévreuse ( Le premier qui dit Corona, je l'étrangle. )... Mais c'est agréable. T'es peut être un gamin assez chiant, je vais pas te mentir, mais cette personnalité me plaît... Tous ce que tu veux c'est protéger les autres, et me protéger moi, et je t'en suis extrêmement reconnaissante. Je me sens bien à tes côtés, j'ai envie de donner le meilleur de moi-même. Je-

Kokichi coupa mon monologue en posant ses lèvres sur les miennes.

Gênée et suprise, je m'était mise en mode bug.

Kokichi se retira, et me regarda avec malice.

- Je préfère les actes aux mots~

Bordel, je savais pas qu'il pouvait prendre une voix aussi rauque...

- Si c'est que Monsieur désire...

J'empoigna sa cravate, et l'attira vers moi.

Je l'embrassais avec passion et désir, comme si je venais de réaliser ce que j'avais toujours envie de faire.

Il répondit à mon baiser, et nos langues dansaient dans un ballet endiablé.

Je t'aime. Le despote.

- Tu me dois 20 balles Rantarô, je t'avais dis qu'ils feraient ça aujourd'hui.

- Je dois dire que tu m'as épatée Kaede, je ne pensais pas que ce dîner marcherait aussi bien ! Chuchotais Rantarô à la blonde, cachés tous les deux dans des buissons.

- Je te l'avais bien dis ! Par contre, je peux savoir qui a donné du gruyère à Shûichi ? Il ne fait que en manger, c'est pas possible ! Dit la pianiste en regardant son petit-ami dissimulé derrière avec son fromage.

- Je mange quand je suis anxieux.

- Mais tu manges tous le temps !

- Exactement fit Shûichi.

Non en vrai, Shûichi pétait le seum car il avait toujours pas réussi à trouver la pièce où Axel était endormi.