Chapitre 18 : Blanche-neige a été retrouvé.

Màu nền
Font chữ
Font size
Chiều cao dòng


- Bon sang, je vais bien finir par trouver dis-je.

- Ôma-kun, ne te précipite pas... Répond mon camarade.


Je regardais Shûichi avec un regard plus dur.


- Shûichi, ça fait une f*cking semaine qu'on le cherche ! Il est mieux caché qu'une salle au trésor dans un château j'ai l'impression.

- Je comprend ta frustration mais s'énerver ne sert à rien.

- Va manger du gruyère, Saihara-chan.


Entendant des bruits dans le couloir, mon complice et moi-même, on partit vite se cacher derrière un mur.


- Tu crois que Monokuma s'est décidé à faire du footing pour perdre du poids ?

- C'est pas le moment Ôma-kun.

- C'est une vraie question que je te pose. Car honnêtement il en a bien besoin nishishi.


Une présence habillée de rouge surgit de l'ombre.


- Ce n'est que moi fit Maki en arrivant.

- Bah c'est bien le problème rétorquais-je, ennuyé.


Maki roula des yeux, faisant tournoyer dans sa main un trousseau de clé.


- Tu as réussi à t'introduire dans le bureau de Monokuma ? Demandais-je.

- Quoi ?! Mais ce n'était pas ce qui était prévu ! Pourquoi personne ne m'a mis au courant ? Fit Shûichi, ne connaissant rien de notre plan secret avec Harukawa.

- T'es plus mignon quand tu ne sais rien, le détective.


L'ultime soupira.


- Quand vous aurez fini votre drague, on pourra y aller ?

- Bien sûr Harukawa, je me disais justement que--- ... Qu'est-ce qu'il fout là ce boulet ?


Kaito arriva peu après Maki, avec une carte dans les mains.


- J'ai surpris Harumaki dans les couloirs.

- Et il m'a forcé à ce que je lui dise ce que je faisais souffla celle-ci d'un ton froid, de ses habituels yeux meurtriers quand Kaito l'appelle par ce surnom.

- Et t'a pas pus te taire ? T'es tous le temps froide, pourquoi là non ? Ah. Ouais je m'en doutais, c'est l'amouuur.

- La ferme Kokichi.


Maki me tourna le dos, mais pas assez rapidement. J'avais eu le temps de voir qu'elle avait rougi à ma remarque. Elle est tellement pâle que ça se voit rapidement. Au moins, ses joues sont assortis à ses yeux maintenant.


- Qu'avez vous trouvez ? Demanda Saihara-chan, toujours sérieux.

- Une clé pouvant ouvrir la pièce où Axel est enfermé. Et un plan de l'école fit-elle.


Shûichi regarda la carte attentivement.


- Alors, quelle est ta déduction mon apprenti ? Interrogea l'astronaute Ultime.

- Hum... Nous avons fouillé toutes les pièces. Sauf ces trois là dit-il en touchant le papier. Allons-y directement.

- Ce qui m'inquiète c'est que quand nous sommes entrés dans le bureau de Monokuma, aucun exisals n'est venu nous attaquer. Je pense qu'il veut volontairement qu'on le trouve pour je ne sais quel raison...

- Ou alors ses enfants l'ont accompagné faire son footing terminais-je sous les visages blasés de la bande.

--------------------------------------------------------------------------------------


- Bonne apétit !


Kirumi déposa sur la table une assiette de saumon pour chacun de nous. Ses plats sont toujours aussi bon ! Elle est vraiment adorable.


- Les greluches, les bouseux veulent qu'on les rejoignes dans le hall central cria Miu en entrant comme une bombe. Non pas par sa beauté, c'est-à dire qu'elle faisant trop de bruit en entrant et qu'on s'y entendait pas.

- Et mon saumon... ? Fit Himiko, dépité en regardant son poisson.

- Fous-le toi où je pense la grenouille dit Miu en riant.


Bah super, moi qui crevais la dalle. Au pire, je boufferais Miu vivante dans le couloir.


- Suivez-nous.


Maki, Shûichi, Kokichi et Kaito nous ont guidés près d'une immense porte, après avoir traversé un passage secret bien évidement sinon c'était pas drôle et impressionnant.


( Monokuma : Passage approuvé par Monokuma, merci l'architecte.

Architecte :

Monokuma : TU SERAS MON PREMIER MINISTRE, J'AIME TA GUEULE WEJDNE )


- Kokichi, ou on vas ? Demandais-je discrètement en lui adressant un coup de coude.

- Nishishi, tu verras m'a-t-il simplement répondu, un sourire malicieux s'étirant sur ses lèvres.


Shûichi ouvrit la porte, et miracle de pomme de terre.


- ET BAH COUCOU TOI fit Kokichi.


- Bonjour, Ôma... Dit un grand jeune homme, les cheveux longs attachés.


Même si il avait légèrement changé à cause du temps, je pouvais le reconnaître entre-milles.


- ... Axel ?



Il se contenta de me regarder.


- Quel surprise fit l'assemblé avec des yeux ronds.


Axel m'enlaca, ce qu'il n'aurait jamais fais avant. Préférant être distant et froid avec les autres.


- Je suis rassuré que tu ailles bien.

- Je suis toujours enfermé dans une école maudite mais ça va oui- riais-je nerveusement.

- Je regrette de n'avoir pus te protéger. On m'a transmis de force une quantité abusive de virus qui m'a plongé dans un coma très long... Il baissa la tête, se sentant fautif.

- Tout vas bien Axel, rassure-toi. Kokichi est un bon protecteur, tu as bien fais de lui demander de me surveiller dis-je, heureuse

- BOOOOOSS !!! cria Kokichi joyeusement, sautant sur Axel pour lui faire un câlin.

- K-Kokichi ? Dit le brun, ahurit.

- Pourquoi tes yeux sont-ils rouges maintenant ?

- Le virus fit-il en se grattant l'arrière de la tête, gêné.


Je me tournais vers Shûichi.


- Comment tu as réussis à le réveiller ?

- Maki a récupéré une ampoule d'antidote dans le bureau de Monokuma. Il a réussit à créer un anti-virus au poison. Même si Kokichi avait supposé l'idée qu'on pourrait réveiller Axel à la manière de Blanche-Neige, se portant volontaire pour essayer fit-il, dépité.


Ah bah forcément. Je vais finir par me poser des questions sur leurs relation.


- Ce directeur m'étonnera toujours...

- Surtout que c'est un ours en peluche rétorqua Tenko.


Kokichi et Axel s'étaient isolés pour discuter. Kokichi aida Axel à marcher, il vacillait en faisant bouger ses jambes encore engourdis.


Même si j'étais suffisement loin et que je n'entendais pas leurs discussion, je pus néanmoins en entendre la fin.


- Je suis fier de toi Kokichi. Je m'excuse de ne te l'avoir jamais dit avant. J'aurais dû te le dire, au moins un millième de fois disait Axel, en posant fermement ses mains sur les épaules de Kokichi, le regard sérieux.


Kokichi avait l'air heureux mais choqué, c'était la première fois qu'Axel lui faisait un compliment. Il avait l'air d'avoir changé, d'être moins distant avec les autres, de faire plus confiance je dirais.



Le despote ultime sautilla sur place, l'homme qu'il admirait depuis toujours l'avait félicité. C'était une grande fierté. Axel l'ébouriffa les cheveux en souriant, il pensait ce qu'il avait dit néanmoins, il aurait dû lui dire cela il y a bien longtemps.


Bạn đang đọc truyện trên: Truyen2U.Pro