Chapter 15 "Autorisation"

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Pdv Lucy

Je suis actuellement entrain d'attendre tranquillement mes parents qui vont surement bientôt arriver, dans l'un des sallons du chateau, sur l'immense table en carée, assise, et prête à les acceuillir. Se tenant debout près de moi, Jellal, les mains derrière le dos, parfaitement droit, mais agacée.

Moi : Qu'est-ce qui ne va pas, cette fois, Jellal ? Je lui demande en fixant droit devant moi d'un air sérieux.

Jellal : Tu veut vraiment le savoir ? Il me demande en arquant un sourcil.

Moi : Je t'écoute, Lui lançai-je simplement en lui jetant des petit regard, mais gardant mon sérieux.

Il pose soudainement son pied sur la chaise de père, tape violemment la table et fronçe les sourcils.

Moi : Mais qu'est-ce que tu-

Jellal : Ils mettent beaucoup trop de temps ! Dire qu'on a cru que c'est nous qui étions en retard ! C'est vraiment innacceptable ! Il fait soudainement les cent pas juste derrière ma chaise, en continuant son baratin, De plus, j'ai accepté de t'accompagné pour me remplir le ventre ! Et pas faire la statut près de vous en vous regardant manger comme un idiot ! Je ne suis pas toi, moi !

Je fronçe les sourcils tourne ma tête pour le fixer d'un regard noir.

Moi : Hé oh ! Fait gaffe à ce que tu dit, Jellal ! Je ne suis pas idiote.

Il se stoppe face à moi.

Jellal : J'ai jamais dit ça.

Moi : Tu l'as insinué, dit-je en me levant d'un bond, pas très contente.

Jellal : Est-ce que par tout hasard, tu me-

?? : Woah ! Excusez-nous du retard, les enfants ! Dit-une voix douce.

On se retourne en écarquillant les yeux.

Moi : Mère ! Père ! Dit-je surprise.

Mère arrive avec mon père, en se tenant tout deux la main. Elle est habillé d'une grande robe se trainant au sol majestueuse, de couleur blanc. Son magnifique collié lui cache sa poitrine, et un ruban noir extrêmement fin contourne sa taille, pour laisser apparaître un nœux impeccable sur son dos. Elle porte des talons à aiguille en cristal pour compléter le tout. Malgrés ça, ça n'empêche pas à mon Père d'être plus grand qu'elle. Celui-ci porte un magnifique costume de couleur noir, suivi d'un nœux de papillon de couleur blanc.
Ils relâchent enfin leur main, mais n'empêche en aucun cas d'effacé le sourire plaqué sur leur lèvres depuis leur arrivé.

Je m'incline pour les saluer, et Jellal fit de même derrière moi en plaçant une de ses main sur sa potrine, et l'autre restant derrière son dos.

Layla : On est vraiment désolé. On a eu un petit contre-temps. C'était quelque chose que nous devions absolument nous occupés, pour une personne qui est très importante à nos yeux. Explique ma mère avec ce magnifique sourire quelle garde sur ses lèvres.

Jellal : Je comprend. N'empêche, je commençais sérieusement à m'impatienter, Layla. Dit le bleu en se redressant avec un large sourire, et fermant ses paupières. Il reste à fixer mes parents avec ce sourire plaqué sur ses lèvres depuis un bon bout de temps.

Mère se met à rire, en se plaçant devant sa chaise, et posant délicatement une de ses mains sur ses lèvres.

Layla : Tu es toujours aussi drôle, Jellal, dit-elle amusée. Un majordome plaçe convenablement la chaise de mère pour quelle s'assied face à moi, et à côté de père. Elle hoche de la tête en signe de remerciement, puis s'assoit en continuant à parler, Si tu ne serais pas là, Jellal, j'ignore comment ma fille aurait pu vivre.

Jellal me lançe l'un de ses regard que je déteste le plus. Signifiant simplement : "Que deviendrais-tu sans moi ?" ou encore "cela signie que tu ne vaut rien".

Après que le majordome est rangé la chaise de père, celui-ci s'assoit en nous regardant tous les deux.

Jude : Ou encore, comment nous serions après le travail. Ha ha, nous serions dévasté, et n'aurions plus aucun sourire affiché sur notre visage ! C'est certain !

Jellal : Vous avez tout à fait raison, Jude, Layla. Acquiescent le bleu en plaçant sa main sur sa poitrine en s'inclinant une fois encore, Vous me flattez beaucoup trop. Je suis un simple garde du corp, voyons. Et puis...., On se met à le regarder d'un air interrogatif, près à entendre "encore" quelque chose de stupide, ou bien d'innatendu venant de sa part, Je respecte entièrement votre fille. Jamais je n'oserai la "rabaissé". Bien quelle ne le remarque pas, et que ce soit dommage ! N'est-ce pas, Lucy ?

Je fronçe les sourcils, à deux doigts de craquer ou de me jeter sur lui.

Moi : Non, mais je rêve ! C'est l'hopital qui se fou de la charité !

Mes parents se mettent à rire, et moi à fixer Jellal d'un air féroce.
Après ça, mon père invita Jellal à déjeuner avec nous. Celui-ci n'a évidemment pas refuser. Il est donc assis juste à côté de moi entrain de manger.
Nous sommes entrain de déjeuner dans un silence des plus total. Tous se qu'on entend son les sons des couverts que nous déposons, ou prenant entre les mains.

Sans que moi et Jellal nous le sachions, mère posa sa main sur celui de père. Elle lui fit un clin-d'œil, et le soupire de père se fit entendre par moi et Jellal. On lève nos tête, et les fixes en arquant un sourcil. On dépose tout deux nos couverts en posant une question chacun.

Moi : Quelque chose ne va pas ?

Jellal : Jude, vous n'avez pas l'air d'aprécier quelque chose.. Remarque Jellal, Que se passe t-il ?

Mère lâche enfin du regard mon père, et commence à me fixer moi, droit dans les yeux.

Moi : Euh... Maman ? Je dit, perdu.

Layla : Ma chérie, moi et ton Père avions décider de quelque chose pour toi que tu n'a eu jamais de la vie le droit de faire, ou expérimenter. Elle me le dit d'un air pour une fois si sérieux qui me donne des frissons énorme, elle fixe père, et hoche de la tête. Comme pour lui donner un signal.

Celui-ci se met à fouiller quelque chose dans la poche de son costume, situé sur sa poitrine de droite, puis sort une enveloppe. Il me le tend avec le sourire, et le fait gigoter un peu partout pour m'insiter à le prendre. C'est ce que je fit, d'un geste pas très confiant. Jellal est tout aussi surpris que moi par la réaction de mes parents et continue à nous fixer. En même temps c'est normal. C'est la première fois qu'ils réagissent de cette manière.
Je regarde un moment la lettre, puis jette quelque regards sur mes parents, attendant une réaction quelconque, mais je ressens simplement de l'impatience. L'impatience à ce que je n'ouvre pas cette lettre, et de me fixer de cette manière. L'impatience d'attendre ma réaction en ouvrant cette lettre, et découvrant se qui s'y trouve.
Je lâche un grand soupire, craignant le pire, puis me met à ouvrir cette lettre avec toute délicatesse. Je sort enfin le papier qui s'y trouve, et écarquillent les yeux en voyant ce que je tiens dans mes mains. Trois petite feuilles. Trois feuilles avec des numéros. Trois feuilles coloré qui me laisse bouche-bée.

Moi : JE RÊVE !!

°°°

Voilà pour ce chapitre ! Je suis désolé, je n'ai pas eu le temps de vous mettre quelque chose de "génial" dedans ! Sinon je n'aurais pas publié le chapitre ce soir... C'est pourquoi le prochain, je vous assure qui sera beaucoup plus énergique, avec moin de blabla je l'espère, pour que ça tienne la route !
Donnez moi vos avis, qui j'espère ne serons pas trop déçu..

Sur ce, bye bye pour un new chapitre, Mina-san ! ❤

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