Chapter 16 "Rien"

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Désolé d'avoir mis une journée entière de retard ! Voici donc ce new chapitre ! Le prochain ne sortira pas avant demain, ou après demain ou au pire des cas le 29. Sumimasen pour les impatiennnt !

Je n'ai pas corriger les fautes. Espérant que je n'en ai pas fait ! Sur ce, bonne lecture mina-san !

°°°

Moi : JE RÊVE !!

Jellal se montrant impatient, m'arrache les trois feuilles des mains, alors que moi je reste à fixer mes parents toujours sous le choc.

Jellal : Qu'est-ce que s'est que- Il écarquillent les yeux à son tour et devient blanc. HEIIIIN ??

Moi : Mais pourquoi, tout à coup.. Dit-je en me levant d'un bond. Vous.. Vous..

Jellal : Vous avez réserver des places au concert pour trois ?

Ma mère se met à rire soudainement en nous regardant dans cette état.

Layla : Moi et ton père, Lucy. Avions décider tout deux que nous pouvons te faire confiance. Et ce au moins une fois depuis ton enfance. Tu n'a pas eu le droit de sortir depuis longtemps. C'est donc normal qu'à ton âge tu ne peut plus tenir en place dans cette immense maison. Explique t-elle en me faisant un clin d'il.

Me rappelant du premier jour de ma fugue avec Jellal et Mirajane, je me fait toute petite sous le regard incompréhensif de mon paternel.

Jude : Évidemment, il ne faut pas se faire des idées, Lucy. Si j'accepte que tu sort pour la première fois de ta vie, c'est simplement car Jellal viendra avec toi. Ce sera donc la première, et la dernière. Reprend mon père sèchement en fronçant les sourcils et me regardant.

Jellal se met à lancer un regard noir à mon père. Celui-ci ne le remarque pas, dieux soit loué. En fait, mon père n'est pas le genre de personne à chouchouter sa fille tous les jours. Je ne suis donc pas son chouchou. Puisqu'il en a déjà un. Jellal. Bien sur lui, ne le prend pas ainsi. Parfois, ça lui arrive même de craquer en lui hurlant dessus sous le regard moqueur de mon père. Là par exemple, il est à deux doigts de briser le verre qui tient entre ses mains en tremblant de nerf.

Jellal : Hé, le vieux... Commence t-il en se levant doucement, Je ne suis pas ton-

Je me lève soudainement à mon tour, passant mon bras juste en face du bleu, pour lui bloquer de tous ses gestes dangereux.

Moi : Très bien, père. Vous savez bien que je n'ose pas vous contredire en toute circonstances. Je lui sourit. Je m'incline face à mes parents avec ce sourire toujours affiché sur mes lèvres, Je vous remercie infiniment de m'autoriser pour la première fois sortir de la maison, pour aller voir le concert du groupe que j'adore.

Ma mère hoche de la tête et me sourit.

Layla : Il n'y a pas de quoi, ma chérie.

Jude : N'oublie pas, elle viendra dans quelques minutes. Soit donc prête à l'accueillir. Me dit mon père en baissant son regard, avec toujours le même air stricte.

Je sourie rien qu'à l'idée de la revoir. Ma mère me lâche un sourire doux que je le lui rend. Elle se lève de table ayant finit de déjeuner, elle s'approche de moi, et dépose un léger baiser sur mon front.

Layla : Amuse toi bien. Me chuchote la blonde à l'oreille en me serrant dans ses bras.

Moi : Oui mère, je vous remercie. Après ça elle s'en va à l'étage. Je me tourne vers mon père, et lui sourit en lui faisant la révérence. Je vais tous de suite me préparer. A plus tard. Je me tourne cette fois-ci vers Jellal avec un large sourire. Allons-y !

Il me sourie et hoche de la tête. Je part devant en courant, alors que lui gagne la sortit les bras croisés tout en marchant. Mais sans le savoir, mon père le stop en prononçant son prénom. Le bleu se retourne en fronçant les sourcils, et laissant ses bras glisser.

Pdv Jellal

Moi : Quoi ? Dit-je sèchement en le fixant.

Jude : Allons, ne soit pas si en colère, répond le vieux avec le sourire en se levant de table, et s'approchant des grandes fenêtres, les mains derrière le dos. Je voulais juste te dire que tu n'es pas obligés d'emmener Lucy, et d'évidemment refuser. Reprend t-il sèchement. Cette petite est trop chouchouté de toute façon, si tu veut savoir mon avis.

Mes poings se serre. Je baisse la tête permettant à mes cheveux de cacher mes yeux et serrant des dents.

Moi : Si je fait ça, Lucy aura t-elle quand même le droit d'aller au concert ?

Il se met à rigoler.

<<-Mon rêve, c'est qu'on m'autorise à sortir de cette maison. Dit Lucy en regardant les étoiles dans son balcon et fixant son groupe préféré chanter.

-Pourquoi ? Tu n'es pas heureuse ici ? Je lui demande en m'appuyant sur le cadrant de la porte les bras croisés avec un sourcil relevé.

-Si mais, rester dans la même maison depuis sa plus tendre enfance, sans jamais avoir mis les pieds dehors et ne connaissant pas le monde extérieur, et vraiment frustrant pour une héritière qui accèdera plus tard à l'organisation que tiens ses parents. Alors.. Toi qui sort tout le temps quand tu le souhaite, ça me plaît vraiment de t'entendre me raconter ce que tu y a fait durant la journée. Mais ce que je souhaite vraiment.. C'est que c'est moi qui te raconte ma journée passé. Tu comprend ?

Je sourie et hoche de la tête en fermant mes paupières .

-C'est pourquoi, mon rêve c'est que mes parents m'autorise à sortir, en ne faisant en aucun cas semblant. Avec le sourire.. Tu voit se que je veux dire ?, Elle rigole rien qu'à l'idée. Ma mère je sait déjà ce quelle répondrai. Elle est tellement gentille.. Mais mon père.. Je voudrais qu'il me dit..

<<Bien sur, ma chérie>>

Jude : Non évidemment. Mes membres tremblent de rage. Je frissonne de colère à deux doigts de l'étriper. Elle va s'en passer. Il termine sur ses dernier mots en me regardant avec le sourire.

<<Tu crois que sa se réalisera ? Elle me demande perplexe en me regardant.

-Si tu le veut vraiment au plus profond de ton cœur, évidemment que sa se réalisera. Il faut simplement que tu patiente. Un jour ou l'autre, ils vont accepter avec joie, j'en suis sur. Garde juste espoir. Je lui répond avec le sourire.

Elle me sourie de toute ses dents en me regardant.

-Oui !

Je garde la tête baissé avec mes cheveux sur les yeux, ne cesse de serrer mes poing et de claquer mes dents.

Moi : Est-ce que, Je laisse un petit moment de silence sous le regard interrogatif de Jude, puis continue, Vous pensez que je vous appartient ?

Il rigole à cette question qui semble pour le moins stupide.

Jude : Bien sur Jellal, même si tu ne l'accepte pas encore tu sera toujours mon fidèle..

Moi : Chien ? Je complète. Il secoue de la tête avec le sourire causé par ma réponse. Ah, Je relève la tête en tentant plusieurs réponse. Servant ? Acolyte ? Pourvoyeur ? Pointeur ? Employé chouchouté ?

Il me coupe en prenant de l'élan et secouant de la tête.

Jude : Mais non, Jellal voyons ! Tu es comme mon fils unique ! Tu es mon-

Moi : Seulement voilà, je ne le suis pas. Et si je l'étais, je ne serais pas unique. Puisque vous avez Lucy. Lui dit-je sèchement avec la tête une fois encore baissé et la relevant d'un air glaciale. Surpris pour la première fois de me voir le foudroyer ainsi du regard il lâche un gloussement.

Moi : De plus, je ne vous appartient pas.

Jude : Quoi ?

Moi : Je n'appartient qu'à Lucy. Je suis son garde du corps. Je suis son ombre. Je n'obéis donc qu'à elle, et à elle seule. Je n'ai donc aucunement de raison de vous écouter puisque vous n'êtes pas celui qui ma engagé.

Jude : Quoi ? Mais voyons Jellal, tu-

Moi : n'es pas celui que je doit obéir. Il recule d'un pas surpris. Sans oublier que, Lucy à maintenant l'âge de m'employer. Et ce, quand elle le veux, Dit-je avec un rictus au coin de mes lèvres. Il est temps que vous ouvrez les yeux, Jude. Vous avez une très belle famille, un très beau château , personne ne peut vous le reprocher, mais Je marque une pose et reprend, Vous êtes plus bas qu'elles. Tous se que vous savez faire, c'est donner des ordres et faire le dominant au dominé. Mais à part ça, vous ne valez rien. Je vous le rappel maintenant, Tous ça, Je lève les bras en indiquant tous l'intérieur du château, Tous ça vous ne l'avez pas gagner par vous-même. Vous en profitez, c'est tout. Vous êtes juste de trop. Vous êtes la gouttes d'eau qui fera déborder le vase un jour ou l'autre. Voilà se que vous êtes. Je fronce les sourcils, Et cette eau, vivra l'enfer, puisqu'elle ne sera plus parmi les siens et tombera de haut. Un silence s'installe soudainement dans la salle. Particulièrement entre nous.

Il fallait bien quelqu'un pour lui ouvrir les yeux sur sa véritable identité. Il continue à fixer le beau paysage qui s'offre à nous par les magnifique rayons du soleil qui traverse la baie vitré du salon. Alors que moi, je reste dans l'ombre à le fixer.

Ce qui me turlupine, c'est que je ne peut pas voir son visage. Quel réaction as-t-il après lui avoir craché ma façon de penser en plein figure sans avoir pour le moins relâcher mon attention, ou encore, être dominé par ce crétin. Confirmant aucune réaction de sa part, je hausse les épaules et décide de le laissé seul avec sa conscience débile dans se silence profond. En sortant le son de mes pas résonne dans toute la pièce, ainsi que dans les couloir, jusqu'à en devenir muet.

Maintenant qu'il se retrouve seul, je n'ai aucune idée de quoi est-ce qu'il doit penser. Était-ce une bonne idée ? Dans tous les cas, je n'ai aucun regrets.

*

Dans la salle, Jude fronce les sourcils, et lâche soudainement un rire. Un rire qui résonne dans tout les coins de la pièce. Un rire que nous n'avions jamais entendu au par-avant. Un rire d' impatience.

Une femme avec une tenue resplendissante, un chignon attrapant la moitié de ses cheveux blond et de l'ombre lui couvrant tous son visage, mais rayonne ses lèvres qui ont l'air d'être les plus douce, reste près de l'immense porte du salon fermé là ou s'est enfermé Jude pour décompresser. Elle ne pu s'empêcher d'afficher un rictus. Elle pose délicatement ses doigts sur ses lèvres en souriant.

?? : Tiens, tiens, tiens.. Mh..Intéressant.. Elle reprend sa route vers l'étage en souriant et ajoutant, très intéressant.

°°°

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