Le ciel se transforma en noir.

-Il est difficile de reconnaître cette lente transformation jusqu'à ce qu'il soit trop tard... Rentrons chez nous.

Seulement le ronronnement du climatiseur lui réponda.

Seulement lui dans ce géant bureau...

Il ouvrit sa porte et sortit.

-Quelle silente ambiance. Tout le monde est rentré chez soi.

Clap-clap, clap-clap

Ses pas entonnèrent leur froid et sec chant sur le sol en marbre blanc et froid réflechi l'image de leur solitaire propriétaire vers le balcon.

***

Le soir. Le vent soufflait fraîchement mais fouillait ses cheveux. Il le laissait. En déployant ses bras, il jouissait pleinement du vent qui perçait sa veste épaisse et serrée, qui pénétrait son peau, ses muscles, qui se mêlait dans son sang et qui entrait son cœur. Ce vent est très frais comme s'il voulait le soulever jusqu'au paradis. Il voulait crier, voulait crier, voulait crier tous les émotions tourbillonnant dans son âme. Cette émotion était vraiment bizarre.

C'était l'émotion merveilleuse qu'il avait oubliée.

Etre touché tant qu'il ne pouvait rien dire devant la nature.

Depuis combien de temps il n'a pas contacté profondément ce monde ?

« Philibert, tu es mon frère mais tu ne sers de modèle ! Chaque fois que je te demande de venir avec moi, tu toujours dis 'je suis sur le point de finir mon travail. Je vais venir avec toi après.' . Mais tu ne veux pas finir tes travaux ! Je ne suis pas importante que tes travaux, non ? La seule raison pour tous tes refus est que tu ne veux pas venir avec moi ! Puisque tu ne veux toujours venir avec moi ! »

Depuis combien de temps il ne vivait sa propre vie ?

« Toi ! »- Alix lui avait dit avec ses chaudes larmes aux yeux-« Même aujourd'hui, tu ... »

Même ce jour-là, le jour de l'anniversaire d' Alix il avait pensé souvent à ses travaux ! S'il n'avait pas le fait, s'il n'avait pas profité du moment où sa petite sœur allait leur acheter les souvenirs pour demander à son assistante de son plan de découverte client, elle n'aurait pas été triste.

Quel frère ...

...Juste parce qu'il avait toujours peur qu'il... ne travaille pas assez pour lui donner une vie heureuse. Juste parce qu'il avait toujours peur qu'il ...ne puisse plus la soigner un jour.

Il faisait froid. Il, par habitude, enleva sa veste, puis le mit immédiatement à ...

A qui ? A qui maintenant ?

Il s'arrêtait.

Il faisait froid au fur et à mesure que le temps se passait, il ne voulait pas se remettre sa veste. Contrairement aux réactions des autres à ce climat dur, il encore enleva sa cravate luxueuse et ouvrit même les deux premiers butons gênants de sa chemise. Depuis longtemps il ne sentait pas la paix dans son âme.

Sans le climatiseur.

Il était entouré par la quintessence de la nature.
"Le vent y est très pur, n'est-ce pas. The spring is right here. Je suis nerveuse quand le vent du printemps me souffle au visage."
Il se tourna vers la source de ce son. July reste