Tulipe rouge [Bokuaka] 6 Je t'aime

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Akaashi se précipita de cacher son visage sur le torse de Bokuto qui l'enlaça délicatement afin de ne pas lui faire de mal.

- Keiji... pourquoi tu ne voulais rien me dire?

- Je ne voulais pas... t'inquiéter... plus que nécessaire...

- Qui t'a fait ça?

- Personne... je... Kōtarō... ne... ne me laisses plus... je t'en supplie... je p... pourrais pas...

- Shhh... je ne te laisserais plus jamais Keiji... maintenant dis-moi qui t'a fait ça?

- Tu te s... souviens de... des mecs qui... qui nous insultaient... après chaque entraînement le... le soir... ils m'attrapaient et... me traitaient de noms les uns aussi ignobles que les autres et... ils... ils... Kōtarō... ils me frappaient...

Akaashi éclata en sanglots. Bokuto bouillonnait de rage mais il s'efforça de se calmer afin de consoler Akaashi du mieux qu'il le pouvait.

- C'est fini Keiji. Je suis là maintenant. Mais dis-moi, pourquoi ils n'étaient plus là aujourd'hui alors?

- S... si... ils étaient là... m... mais ils t'ont v... vu a... alors... ils sont repartis...

- Rhaaa sales enc...

- Non!

- Hein?

- Arrêtes... s'il te plaît... ils me... traitaient souvent de ce nom...

- ... Pardon Keiji... je suis désolé.

Kōtarō écarta Keiji de lui pour mieux voir les bleus que ce dernier avait sur son torse. Akaashi tourna la tête sur le côté par honte de se montrer ainsi devant Bokuto.

- Keiji... regarde-moi...

Le dit Keiji garda la tête tournée sur le côté et se mordit les lèvres, laissant échapper des larmes sur des sanglots étouffés.

- Keiji, regarde-moi. Ne te caches pas mon amour.

- Kōtarō... je... je... je ne suis qu'un... faiblard... je ne te mérites pas... je suis... nul...

- Keiji, tu racontes n'importe quoi. Tu n'es pas un faiblard et encore moins un nul. Ils étaient combien?

- ...

- Keiji, ils étaient combien? Qu'est-ce qu'ils t'ont fait?

- Ils étaient... ils étaient...

- Dis le moi Keiji. Combien?

- ... Quatre... et...

- Et?

- Je... ils... ils ont essayé de...

- Shhh... ça va aller... dis-moi.

- Ils ont essayé de me forcer à... à leur faire une... f... fe...

Akaashi ne put continuer. Ses sanglots redoublèrent et il devint inconsolable.

Bokuto le garda contre lui lui faisant des cercles sur le dos jusqu'à ce qu'Akaashi se calme.

Une fois cela fait, Akaashi reprit.

- Kōtarō... ils m'ont essayé de leur faire faire une... une fellation...

Le cœur de Bokuto rata un battement. Instinctivement il serra encore plus Akaashi contre lui.

- Ils n'ont pas osé?!

- Je ne leur ai pas laissé le temps... je... je me suis enfui... alors... ils m'ont frappé encore plus hier...

- Keiji... je... je suis tellement désolé... je ne pensais pas... c'est de ma faute... je n'aurais jamais dû te laisser seul... c'est uniquement de ma faute... je suis désolé... Oh Keiji... pardon...

- Tu n'y es pour rien Kōtarō... Ne t'en veux pas...

- Ils me le paieront ces fils de...

Bokuto s'arrêta en se souvenant de ce qu'Akaashi lui avait dit.

- Viens Keiji.

Tous deux prirent une douche et se rendirent dans la cuisine pour le dîner. La mère de Bokuto avait tout préparé pour qu'ils ne soient pas pris au dépourvu.

Après le dîner, ils se rendirent dans la chambre de Bokuto.

Ils restèrent allongés un moment sur le lit. Bokuto se hissa légèrement et regarda Akaashi dans les yeux. Ce dernier attrapa Bokuto par la nuque et l'embrassa. Akaashi ne put se retenir de passer sa main sous le haut de Bokuto qui se mit à califourchon sur le noiraud.

Le gris blanc passa également sa main sous le haut du passeur explorant de nouveau son torse pour la première fois depuis leur première nuit ensemble.

Lorsque Bokuto titilla le bout de chair droit d'Akaashi, ce dernier gémit et arrêtant tout mouvement, fit sortir la main de Bokuto.

Akaashi avait la respiration saccadée.

- Keiji...?

- Kōtarō... je... j'ai peur...

- Pourquoi? Ce n'est pourtant pas la première fois qu'on le fait...

- Je sais... mais... j'ai peur...

- Dis-moi... peur de quoi mon cœur...?

- ...

- T'as peur de la douleur?

Akaashi hocha la tête timidement.

- Regarde-moi Keiji.

Bokuto força Akaashi à le regarder dans les yeux et d'une voix rassurante, lui dit :

- Fais-moi confiance Keiji. J'irai doucement. Comme la dernière fois. Je prendrai le temps qu'il faut pour te préparer. Je te promets d'y aller doucement mon cœur. Ce n'est que le début qui est difficile.

- On l'a pourtant déjà fait mais... ça me fait peur...

- C'est rien, justement ça me fait plaisir que tu me le dises plutôt que de le garder pour toi.

- K...

Bokuto embrassa Akaashi avec une douceur infinie, lui transmettant tout l'amour qu'il lui portait et essaya de le rassurer du mieux qu'il le pouvait avec ce baiser.

Les craintes d'Akaashi s'envolèrent rapidement au contact des lèvres de Bokuto sur les siennes. Petit à petit, il passa ses mains sous le haut de l'ancien capitaine de Fukurōdani et joua avec les tétons de ce dernier, lui faisant arracher des soupirs et des gémissements.

Bientôt, la pièce était emplie des gémissements des deux garçons ainsi que le bruit de succions que faisait Bokuto sur le cou et la clavicule d'Akaashi.

Bokuto passa des coups de langues doux sur les bleus d'Akaashi pour le rassurer.

Bientôt les bas rejoignirent les hauts et d'une pulsion, Akaashi se releva et dévora l'intimité de son partenaire du regard.

⚠️ Lemon⚠️

- Aaah... K... Keiji... nghaah...

Akaashi accéléra encore plus la cadence tout en creusant les joues. Bokuto sentait le creux de ses reins le brûler sous le plaisir. À chaque coup de langue, il se sentait emmené loin de la réalité.

- K... Keiji... je vais... v...

Akaashi donna un dernier coup de va et viens et Bokuto vint dans la bouche d'Akaashi qui avala toute la semence.

- Keiji... c... ça va...?

- Oui Kōtarō... parce que je sais que c'est toi...

Bokuto le fit relever et l'embrassa sur les yeux, puis passant par la joue et la mâchoire, embrassa Akaashi sur les lèvres.

Faisant allonger le noiraud, il descendit le long du torse d'Akaashi embrassant par-ci par-là les tétons, les lignes d'abdos ainsi que le bassin pour enfin arriver sur l'intimité dressé par l'excitation de son amour.

Bokuto fit gémir son petit ami avec des coups de langues bien placés. Akaashi ne tarda pas à venir et Bokuto fit de même qu'Akaashi plus tôt.

Revenant au dessus d'Akaashi, il entrelaça leurs mains et en regardant Akaashi dans les yeux il fit frotter doucement leurs intimité l'une contre l'autre, les faisant gémir tous les deux.

Bokuto accéléra de plus en plus et on pouvait désormais entendre dans la pièce leurs gémissements ainsi que le bruit que faisaient leurs partie intime dû aux frottements.

Sous le plaisir, Akaashi se cambrait en arrière et son pied droit donnait des coups au mur.

- Ngh... aaah... Gnh... K... Kōt... arō... aaah...

- Aaah... K... ngh... Kei... gnh... ji...

Leurs langue essayaient de se trouver. Elles restaient collées quelques instants avant de se séparer de nouveau. À chaque glissement de leurs partie intime, ils se cherchaient de nouveau et accéléraient encore plus la cadence.

Akaashi laissa couler un liquide transparent de sa verge jusqu'à l'entrée situé plus bas.

Bokuto arrêta tout mouvement et descendit jusqu'à l'entrée d'Akaashi. Il lui présenta trois doigts que le nouveau capitaine de Fukurōdani porta à sa bouche pour lubrifier.

Bokuto quant à lui, regarda d'abord le liquide qui continuait de couler avant de porter sa langue à l'entrée. Akaashi frémit et gémit lorsque le gris blanc fit entrer sa langue en lui. Le noiraud attrapa les doigts que Bokuto lui avait présenté d'une main et porta l'autre main dans les cheveux de ce denier.

Bokuto fit des cercles sur la main qu'Akaashi avait posé sur ses cheveux à l'aide de sa main libre.

Une fois qu'il eut estimé que ses doigts étaient assez lubrifiés, il les retira de la bouche d'Akaashi et après s'être remis au-dessus du plus jeune, en entrelaçant leurs main libres, Bokuto fit entrer un doigt en Akaashi qui se cambra en poussant un gémissement de douleur.

- Respires Keiji... détends toi... si tu stresses ça te fera plus mal...

Pourtant Akaashi s'habitua plus vite que ce que Bokuto aurait imaginé. Le deuxième doigt entra plus facilement mais ce fut le troisième qui arracha un cri à Akaashi qui porta sa main libre sur la nuque de Bokuto.

- Shhh... respires... penses seulement au plaisir Keiji... pas à la douleur...

- C... c'est p... plus facile à d... dire qu'à... f... faire...

- Je sais mon amour... mais il faut que tu te détendes... détends toi... t'es crispé...

Lorsque Bokuto commença des mouvements de ciseaux, Akaashi se sentit brûler et relâchant la main de Bokuto, porta la sienne sur le dos du plus grand.

- Ngh... aaah...! Aaah... Gnh...

- Détends toi mon ange...

Inconsciemment, Akaashi griffa le dos de Bokuto. Ce dernier sourit en se souvenant de leur première fois où il avait vu de la reproche dans le regard gris d'Akaashi.

- Respires... Il faut que tu te détendes...

- J... j'essaye...

Après un moment, Akaashi s'habitua et des gémissements de plaisir passèrent la barrière de ses lèvres.

La transpiration faisait plaquer les cheveux des deux garçons.

Bokuto retira ses doigts sous un grognement de déception de la part d'Akaashi qui fit arracher un rire discret à Bokuto.

L'ainé se plaça au-dessus de son cadet et plaça son membre durci près de l'entrée. Akaashi resserra ses mains et entoura les hanches de Bokuto de ses jambes.

Sur un hochement de tête, Akaashi fit comprendre à Bokuto qu'il était prêt. L'ancien champion de Fukurōdani entra doucement en lui.

Akaashi ne put s'empêcher de hurler de douleur. La douleur le déchirait. Ses doigts griffaient le dos de Bokuto qui fit comme si de rien n'était.

Akaashi écarta ses jambes de Bokuto et son pied droit donna un coup au mur qui résonna dans la pièce. Elle aurait sûrement alerté les parents s'ils avaient été là. Les coups ne s'arrêtèrent pourtant pas.

Bokuto ne bougea plus d'un millimètre, laissant l'élu de son cœur s'y habituer.

Le mouvement de bassin d'Akaashi fit comprendre à Bokuto qu'il était prêt. Il commença donc des mouvements très légers de va et viens, sous les gémissements et les cris de douleur mélangés à ceux de plaisir d'Akaashi.

Les mouvements accéléraient et on entendait plus que le bruit du choc des deux corps ainsi que les gémissements.

- NGH AAAAH! Aaaah...! GNH...! K...KŌTARŌ...!

- Keiji...

- AAAH....! Ngh... aaah...!

Bokuto continua les coups de butoirs tout en martelant la prostate d'Akaashi qui tremblait de tous ses membres face à ce plaisir intense.

Il ne tarda pas à venir entre leurs torse et Bokuto le suivit dans un râle de plaisir sentant l'anneau d'Akaashi se resserrer autour de son membre.

Bokuto se retira et s'écroula à côté d'Akaashi qui, tremblant se réfugia dans les bras protecteurs de celui qui faisait battre son cœur.

⚠️Fin⚠️

Bokuto embrassa Akaashi sur le front et le garda serré contre lui.

- Comment tu te sens?

- Mort de fatigue... mais super... merci.

- C'est le principal.

- Je t'aime.

- Je t'aime.

Et Akaashi s'endormit dans les bras de Bokuto qui ne tarda pas à le rejoindre.

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