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Le soleil redescendait de son zénith quand l'heure de l'entraînement au Quidditch sonnait. C'était un samedi après-midi normal, tout le monde vaquait à ses occupations, sans surprise, Sirius et Remus était seul dans la chambre des Gryffindor.

James attendait Sirius, pour une partie amicale de Quidditch avec quelques membres de l'équipe des lions. Mais il savait qu'il pouvait commencer sans lui, voir, finir sans lui, lorsque Black restait avec Lupin.

Leur relation était curieuse. En soit, les gens pouvaient considérer leur relation plus proche et fusionnelle qu'avec James. Mais elle était différente. Sirius et James se chamaillaient, étaient les meilleurs camarades pour les meilleurs coups, tant dis qu'avec Remus, c'était la captivation, l'avidité, la découverte. C'était plus expérimentale, et leur relation ne cessait d'évoluer, à croire comme Icare, ils s'approchaient dangereusement du soleil.

Remus lisait sur son lit alors que Sirius refermait sa gazette. Le bruit des pages qui se ferment sortir Remus de son livre et il regarda Sirius. Avec étonnement, le garçon déboutonait sa chemise.

Remus savait qu'il devait détourner se d'yeux, sachant que ses sentiments était amicaux. Il ne pouvait pas le regarder, pas comme James. Ce serait en profiter. Mais que pensait-il, ils étaient amis ! Mais en soit, se changer comme cela, c'était gênant. Alors, le lycanthrope replongea le nez dans son livre et rougit. Il ne pouvait s'en empêcher, mais son regard virait au-dessus, et ils ne pouvaient s'en empêcher.

Sa gorge se serrait lorsqu'il vit son torse nu. L'effet que cela produisait sur lui n'était pas l'effet qu'il aurait du avoir. Mais le plus gênant dans tout cela fut quand Sirius bloqua son regard sur lui. Sans prendre hâte à s'habiller en Quidditch, il resta debout, dans le vide de la chambre. Remus aurait tout donner pour dévier les yeux à temps, mais c'était trop tard.

Paniqué, il se leva, ferma rapidement son livre et pris l'écharpe sur sa chaise pour sortir dehors. Mais Sirius le retint, au poigné. Et c'était d'un contact si ferme que Remus eu mal. Il ne le regardait pas, pas même quand Sirius l'appelait par son prénom. Il ne voulait pas, il ne voulait pas que Sirius comprenne, bien que le sachant, avec son intelligence il devait se douter déjà de quelque chose depuis un moment.

- Remus, tu sais aussi bien que moi que tu en as envie.

À ce moment là, le lecteur se retourna. Comment ça 'il en avait envie' ? Bien sûr, mais le vouloir ne voulait pas dire le faire ! Il ne pouvait pas, pas avec un ami, pas avec un garçon. Il était déjà loup-garou, que lui voulait la vie ?

Ensuite, tout ce passa très vite, comme dans un beau roman d'amour. Sirius le serra contre lui, bien trop étroitement pour que le baiser soit agréable. Mais les frissons, les doutes et l'anxiété qui tordait le ventre partir en un claquement de doigts. C'était ses lèvres sur les siennes, c'était son parfum, ses bras qui l'entouraient.

Remus se demandait parfois que se serait-il passé s'il avait rendu ce baiser. Mais à la place il s'écarta à deux pas, le souffle court. Le torse de Sirius chauffait toujours ses joues, mais à présent il était terrorisé. Sirius le voulait aussi, et c'était mal. Ce n'était pas comme cela que les choses devaient se passer, ils ne devaient pas-

Sirius fis un pas de nouveau vers lui.

- Qu'est-ce que tu fais !

Comme dans un mauvais film, Remus tomba à la renverse sur son lit et vit le visage de Sirius porter son ombre sur lui. Ses cheveux en serpentins pensaient vers lui gracieusement et sa peau pâle se révélaient d'une étendue si lisse et douce. Remus n'avait qu'une envie, faire courir ses mains autour de lui, lui offrir la lune s'il le pouvait et instaurer une nuit permanente pour qu'il puisse briller dans le ciel, comme l'étoile qui l'avait nommé.

- Sirius...

- Dit moi juste de m'en aller, et je m'en irais.

Bien sûr qu'il pouvait lui dire cela, et bien sûr aussi qu'il avait déjà ce qu'il voulait. Remus ne pouvait plus le repousser, quand son cerveau semblait mal oxygénée par le temps qu'il avait passé à garder son souffle coupé. Il ne pouvait pas le pousser, le prier de s'en aller maintenant qu'il était là, pour lui. C'était Sirius, et Remus n'avait jamais su lui résister bien longtemps.

- Sirius, c'est mal. Tenta Remus en sentant un premier baiser sur sa joue. Tout était si délicat, son coeur semblait explosée d'une jour inavouée. Il ne devait pas, ils ne devaient pas se sentir comme cela, ce n'était pas naturelle, était-

Tout ce dont il avait rêvé.

Tout ce dont il rêverait.

Tout ce don il souhaiterait.

C'était un maudit rêve...







(Désolé pour le petit moment d'inactivité, mais sachez que je reviendrais toujours :)

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