I'm backkkk

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Spock, étant un vulcain, avait cru que certaines émotions, jamais il ne les comprendrait ou ressentirait. Mais, encore une fois, son expérience au sein d'une équipe d'humain, il se rendait compte à quel point il s'était trompé.

D'abord vint le stresse, comme un invité surprise dans une fête, qu'on avait pas invité spécialement car on ne voulait pas le rencontré. En effet, Spock restait ses journées souvent penché devant ses commandes. Et parfois Kirk passait en bas du pont pour parler individuellement avec son équipage. Et il effleurait son dos pour éviter de le bousculer en passant.

Le problème ici était moindre, diriez-vous. Mais les vulcains étaient des créatures de touché. Et quand il l'effleurait, des ondes parcouraient sa peau et l'engourdissait. Surtout, qu'il aurait aimé ignorer ces réactions, mais en bon scientifique il avait repéré que son cœur battait plus vite le vue du blond, et que, parfois quand sa mère lui demandait s'il trouvait un·e potentiel·le partenaire, son cerveau faisait le schéma presque automatique, qui le ramenait vers son capitaine.

Ou encore, quand il signalait quelque chose qu'il voyait à travers la vitre, et que Kirk, plus petit que lui se plaçait juste à côté de lui et lui parlait délicatement au creux de l'oreille. Sa voix créait des vibrations agréables au creux de son oreille, qui remontait le long de son échine, rendant cette envie de se retourner de lui faire face et de l'embrasser encore plus difficile. Et même, pourquoi voulait-il exécuter cette chose, ce geste humain avec lui ?

Et c'est là que Spock comprit que ces crampes d'estomac n'en était pas, ou ces mal de tête encore... C'était de l'amour.

Alors vint un moment où le stresse, le vrai vint. Lorsqu'il décida d'en parler au docteur Mc Coy. La conversation se fit ainsi :

Spock alla lors d'un jour de congé vers l'infirmerie et s'approcha, mains dans le dos, du docteur.

- Docteur, commença-t-il en s'assurant qu'il n'y avait personne. Il s'adressait à lui avec ce titre car il venait le consulter comme quelqu'un de malade et pas un co-équipier. Je pense que le capitaine est amoureux de moi, et que, en soit, il me fait des avances. C'est un constat.

Le Dr Mc Coy le regarda, yeux grands ouvert. Qu'était son rôle dans tout cela ? Le pauvre ne comprenait pas.

- Eeeeet ?

- Et bien, je voudrais bien que vous trouviez une solution pour y remédier.

Le docteur était confus. Il pensait que cela lui plairait, il n'avait pas l'air si malheureux de tout cela.

- Spock, tu sais qu'on ne peut pas guérir de l'amour.

- Oh. dit Spock. Et il s'assit sur une chaise. Mc Coy avait comprit, malgré qu'il ne le lui avait pas dit, qu'il l'aimait aussi.

- Spock, Spock ! Ce n'est pas grave, ça arrive à tout le monde de tomber amoureux, c'est normal !

- C'est, que ça devient invivable, docteur. Ou alors il faudrait qu'il arrête de me toucher autant.

- Où là, je ne veux pas savoir ! Dis Mc Coy en se bouchant les oreilles.

Mais ce que Spock voulait dire par là, et le docteur le compris bien après, c'était qu'il voulait qu'il arrête d'être tactile avec lui, car ça ne rendait pas la chose plus facile pour notre petit alien vert.

- Que voulais-tu dire par invivable ?

- C'est que, je n'ai jamais connu l'amour, et si c'est aussi fort à chaque fois, cela fait mal. Et j'ai peur de ne plus pouvoir rester loin de lui plus longtemps.

- Tu sais que ce n'est pas le but que tu t'éloignes de lui, pas vrai ? Si tu sais qu'il t'aime, vous avez cas rester ensemble ?

- Mmh. dit pensivement Spock. Et il quitta la salle.


Les jours qui vinrent furent compliqués. Spock s'isolait, à croire qu'il n'avait pas pris conseil des sages paroles du docteur, et préférait rester loin. C'était que maintenant, c'était la peur. La peur statistiques, car aujourd'hui, plus de 73 pourcent des humains préféraient des courtes relations, et 44 divorçaient. Alors que lui avait peur que Kirk un jour ne se lasse de lui. Lui, mi vulcain, savait que s'il tombait décidément amoureux de lui, ce serait pour la vie. A vrai dire, voilà un fait assez triste ou joyeux pour les vulcains. Quand on les condamnait à se marier avec un·e partenaire, jamais ils n'oseraient se quitter même s'il n'y avait rien en eux. C'était pour leur honneur respectif. Et par contre, s'il y avait de l'amour en jeux, les deux restaient amoureux en monogamie toute leur vie.

Ce qui rendait des histoires parfois tragique, où des vulcains se mariaient alors qu'ils aimaient d'autres personne. Mais par honneur, ils se taisaient. Quitte à vivre mal toute leur vie.

C'est pourquoi le vulcain avait cette boule au ventre qui empiétait sur l'amour parfois. Et Kirk était bien trop humain, combien de compagnes et compagnons ils avaient eu avant lui ?

- Spock ? dit Kirk en posant une main sur son épaule. Ce dernier frémissait à son contact et reprit contrôle de lui. Ça devait faire un moment qu'il scrutait le vide. Vous avez l'air fatigué Mr Spock, vous devriez prendre cette journée de congé.

- A vrai dire, je devrais vous parler.

- Maintenant ?

- Maintenant. En privé si possible, capitaine.

Spock sentait le chaos battre contre les portes de contrôle de sa tête. Ca ne lui arrivait pas souvent d'agir sans réfléchir. Son cœur avait parler franchement, et s'il ressentait cette envie humaine de "se fracasser la tête contre le sol", il avança tout de même dignement en dehors de la plateforme.

Ils entrèrent dans le turboflit, et c'est maintenant que Spock vit à quel point le visage de son capitaine semblait tourmenté.

- Qui y a-t-il Spock ? Ne démissionnez pas à cause de moi, si vous voulez je partirai-

- Pardon ? dit SPock en fronçant ses sourcils déjà naturellement froncés.

- Oh je pensais que-

- Et bien vous pensiez mal, sans offenses, capitaine. Je voulais juste vous dire, que j'ai fais un bilan, un constat si vous voulez, et il se trouve que je vous aime.

A ce moment précis, les portes s'ouvrit et les employés, commençant leur service s'engouffrèrent dans l'ascenseur, séparant les deux à deux extrêmes opposés. Leur regard néanmoins se croisèrent et Kirk lui sourit. Spock su aussi, qu'il l'aimait. Toutes ces couches négatives s'envolèrent, se volatilisèrent, aussi simplement que cela. D'autant plus lorsqu'il posa pour la première fois ses lèvres contre celles légère de Kirk. Il avait déjà flotter dans l'espace, donc il connaissait cette sensation, mais là, c'était indescriptible. Peut-être que ses émotions ressortaient depuis longtemps ce qui rendait tout génial, mais il s'en fichait. Ses doigts sinueux approchèrent celle de son capitaine et ils eurent des étoiles dans les yeux.


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