Pourquoi marier Amanda est logique - par S'chn-T Gai Sarek

Màu nền
Font chữ
Font size
Chiều cao dòng

Ezylrib VasTeFaireConnard Corruptdream
Voici le chapitre dont je vous ai parlé, sur ce bonne lecture x)

- Live long and propser. commença le vulcain en attendant que les autres s'installent. Je suis S'chn-T Gai. Et si je vous ai appelé à cette heure tardive c'est pour une raison bien précise et urgente.

Le vulcain alluma un projecteur et démarra un diaporama.

- Pourquoi le fait que je marie Amanda est logique.

Les vulcains du conseil Vulcain s'agitèrent sur leur siège. Ils tentèrent de le raisonner, mais Sarek ne voulait rien entendre. Beaucoup se retenait pour ne pas montrer leur agacement. Depuis qu'ils avaient refuser leur union, Sarek se comportait irraisonnablement, il frôlait la non-logique, et cela les faisaient frissonner.

- Un. Elle est en bonne santé. Pour 1m 67 et demi, elle pèse 52,1631 kilogramme.

Deux. Elle est intelligente, et forte physiquement. On l'as contraint à des exercices et sa force mentale et physique égalr elle d'une femme vulcaine, ce qui veut dire qu'Amanda sera apte à suvivre au Pon Farr-

- On a compris Sarek. coupa une voix, embarrassée qu'il mentionne ce sujet si tabou ouvertement.

- Trois ! Une équipe menée par moi-même lui ont fait un teste de fertilité, il y approximativement 83, 654778% de chances que la grossesse se termine sans dommage.

Quatre, ses ancêtres ne portent pas de mauvaise gêne, qui metterait l'enfant en danger sur six générations

Sarek continua, pensant gagner la confiance, et l'assurance de ses collègues. Il était presque sûr à présent qu'en leur montrant tout ces faits, ils assouplisseraient leur règles.

- Cinq ! Un mariage entrr ambassadeur de Vulcain et ambassadrice de Terre est un acte de paix bienvenu.

Sur cet argument, Sarek vit que sa stratégie opérait, certains vulcains·aines hochaient la tête tout en mumurant. D'autres prenaient des notes et cessaient de s'agiter. Après tout, si S'chin-T Gai Sarek insistait pour l'épouser, lui le sage, le respectieux Sarek, il devait bien avoir une raison valable.

- Dix-huit, son esprit est capable de lier avec le miens, dans une connexion tout à fait stable et respectieuse. Il n'y a pas de rejet.

Dix-neuf, étant ambassadrices, elles connaient touts les traditions vulcaines et sait parfaitement parler la langue, chose qui facilitera l'éducation.
Et vingt, Sarek fit une pause et prit le temps de contempler l'assemblée qui l'écoutait. Il souffla discretement, rassembla son courage et annonça : Je...je suis amoureux d'elle.

C'est la où des vulcains outragés crièrent à la profanation. On criait qu'un mariage mixte n'était pas possible, que les chiffres étaient faussés, que Sarek avait perdu sa tête et ne savait pas ce qu'il disait.

- Silence, dit le doyen. Sarek, es-tu sûr de tes propos ?

Le vulcain regarda tout le monde. Tout leur soutien s'était écroulé. À présent on le regardait de travers, certain barrait déjà son nom des lignes de travaux. Ce n'est que maintenant, à l'âge de 45 années vulcaines qu'il se rendait compte du cercle intellectuelle fermé des vulcains. Son espèce et lui même clamait être supérieur, compréhensif, mais elle était en fait poussée à l'extrême ! On brisait un réglement, et c'était l'abandon.

Sarek réponderait «oui».

Le doyen pouvait baisser son regard, être déçu de lui, il n'allait pas renoncer à Amanda. Si seulement il savait une once de ce qu'elle lui avait apprit ! Déjà, son intellecte lui avait plu. Elle partageait avec lui une grande passion envers les sciences et l'éducation. Elle était ordonné, calme, ne se plaignait jamais de la chaleur, ou quand on l'insultait dans les rues. À croire de Sarek avait le sang plus chaud qu'elle.

Mais aussi, elle lui avait apprit l'amour.

Depuis son plus jeune âge, on l'avait préparé à un mariage arrangé, une épreuve basée sur le respect, et un besoin mutuel chaque sept ans. Mais Sarek, lui, avait découvert la chaleur d'un regard, la sensation d'un cœur bondissant, explosant de joie chaque fois qu'ils se parlaient. L'envie de vivre ensemble, l'envie de vieillir ensemble. Il s'était si bien habitué à son visage dans sa maison, à son sourire. Chaque pièce était hantée de son parfum, chaque objet était recouvert de son empreinte.

Alors Sarek répondait «oui».

Un grand oui, sans hésitations, sans regrets.
Il quitta la salle, tête haute et sans les saluer.

Sarek déambula dans la ville nocturne. Les soleils s'étaient couchés, la journée était terminé.

Il pensa à prévenir Amanda de son retard, mais il n'avait pas le cœur de l'appeler, d'entendre la voix de cette femme qu'il ne pourra jamais appeller «femme».

Il l'aimait tant. C'était désepérant.

À la mort de ses parents, une trentaine d'années plus tôt, on avait annulé son mariage. Sarek avait acquiescé, en silence et s'était refugié loin de sa solitude dans les études.

Mais ohhh, à combien il se souvenait de leur rencontre, dès qu'elle lui avait sourit, il avait su son coeur prit.

Combien de nuit il avait passé à méditer sur son «défaut» de fabrication, sa capacité à ressentir ce qu'il n'aurait jamais du ressentir...

Sarek se souvenait, en regardant un couple vulcain quitté un restaurant, du premier rendez-vous de lui et Amanda. C'étai elle qui lui avait proposer un rendez-vous, lui avait été trop préoccupé à analyser sa situation pour envisager à le lui demander. Bien sûr, il avait accepté, l'avait salué et était partit, gardant la même mine sérieuse.

Puis le soir même, alors qu'il s'attendait à ce qu'elle arrive en retard, une caractéristique humaine, elle l'attendait déjà.

Ils s'étaient promenés dans le désert, il lui avait montrer la bibliothèque et les archives, il avait eu le privilège de la voir intéressée. Puis, au fur et à mesure que les jours passaient, ils passaient de plus en plus de temps à parler. Son séjour s'était prolongé à un mois, puis 6 mois... Ils avaient montés une équipe de science, et un soir, alors qu'ils étaient seuls, ils s'étaient embrassés, et depuis, plus jamais quittés.

Sarek revint hélas à la réalité. Ses pieds l'avaient amenés chez lui.
Il resta un moment devant la maison, à regarder Amanda commencer à cuisner sans lui. Elle était belle dans sa robe du soir, mais ce n'était pas de la beauté vulcaine. Alors,en trainant des pieds Sarek soupira et entra.

Tout de suite, il entendit les couverts lâcher par Amanda qui courrait vers lui.
- Sarek !! J'ai commencé à cuisner la soupe de de Plumek, mais j'ai perdu la recette donc j'ai du ajouter ma touche personnelle.
Et le vulcain n'eu jamais autant l'impression de ne pas la mériter.

Il rentrait tard, ne l'avait pas appelée et voilà qu'elle n'éxigeait pas de justification et lui cuisinait son repas préféré.

- Qui y a-t-il Ashayam ?

Sarek laissa tomber ses affaires au sol et vint la rejoindre, les larmes aux yeux. Il lui raconta comment son entrevue s'était passé, comment on s'était moqué de lui et à quel point il l'aimait et ne voulait pas la quitter.

Alors Amanda plongea ses grands yeux bleu compatissants dans ceux logiquement brun de Sarek et rit doucement.

- Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle. Dit-il, vexé.

- Mais voyons, Ashayam, nous pouvons nous marier sur Terre !

- Nous ?

Amanda prit la main de Sarek et la déposa sur son ventre.
En une soirée, sa journée était passer d'horrible à la meilleure de sa vie.


Voilà, petit chapitre sur les parents de embryon Spock, j'espère avoir réussi à vous faire sourire :))

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen2U.Pro