Sch'n T-Gai Spock

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On lui avait déjà décrit le coup de foudre. Mais il ne l'avait personnellement pas compris jusqu'à le vivre.

Jusqu'à ce jour, Kirk avait eu maintes relations. Plus ou moins longues, variant de quelques jours à quelques mois. Il pensait qu'il était cassé, car du haut de ses débuts de 30 ans, il n'avait jamais réussit à garder l'amour pour une personne bien longtemps.

Cassé. Voilà le terme qu'il employait pour rire, se moquer de lui même dans l'autodérision. Mais c'était mentir si de n'affirmer qu'une partie de ses pensées était considérée vraie par lui. Ce mot n'était pas sortis de nul part, non. Il était sortis de toutes ces longues nuits, où l'autre était déjà endormis, le souffle paisible, et lui, se rendait compte que sa respiration le dérangeait, et qu'il n'appréciait plus cette présence à ses côtés.

Kirk était émotif, une raison de plus pour laquelle il lui était difficile de causer de la peine aux autres, lorsque eux pensaient que ça allait durer, alors que lui s'en lassait déjà. Comment y remédier ? Comment ??

Il avait chercher, sur internet, sur les gourous de l'amour, mais personne n'avait la réponse. Dans les écrits, l'amour était associé à ces papillons qui flottaient innocemment dans le ventre, à cette idée de toujours penser à l'autre, sourire quand on le mentionnait, de vouloir être le premier informé des bonnes et mauvaises nouvelles. Et surtout, l'envie émotionnelle et corporelle d'être avec elle, de passer du temps ensemble. Beaucoup de personnes, notamment sa mère lui avait assurer qu'on ne construisait pas une relation. Elle arrivait ainsi, bam, d'un coup, et on le savait.

Alors, Kirk s'était mis en tête qu'il ne presserait plus l'amour. Que celui-ci viendrait de son initiative. Mais il ne venait pas, et chaque jour, passé à se regarder dans le miroir devenait difficile. Il n'affirmait pas que vivre sans amour n'était pas une vie réelle, mais lui, ressentait ce creux. Il n'avait pas de papillons, il n'avait personne à qui penser le soir en s'endormant. Ses amis étaient là bien sûr, mais lui voulait une personne présente du coucher à son réveille, une personne qu'il pourrait enlacer lorsqu'il se sentirait triste, ou tout lui raconter sans en être gêné.

Quand un jour vint, le jeune homme soupirant après l'amour encore et toujours, où on lui présenta son nouvel officier. Alors toute cette attente langoureuse paru valoir son coût. Ses yeux se bloquèrent avec les siens. Il le regarda droit dans l'âme, ses bras derrière son dos, et Kirk su. Su que c'était lui alors ce bel étranger dis simplement, toujours en le regardant :

- Salutations, mon nom est Sch'n T-Gai Spock.

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