Aujourd'hui, leshistoiresdemarina nous proposes de pratiquer une discussion entre adolescents.es pour une durée de dix minutes à travers ce cliché.

Pause nostalgique et pensée, attention, il y a du contenu: on s'en ligne pour un pavé. Si je remonte jusqu'à mon secondaire, avec le recul, c'était clairement une période difficile. Je me demande même comment j'ai fait pour passé à travers. J'ai subit l'intimidation, l'abus pouvoir de certaines personnes ( dont ceux qui y travaillaient), le rejet, le diagnostique de mon TAG et les fameuses rumeurs. Je me laissais pas marcher sur les pieds pour au tant et on a demandé que je puisse faire le travail seul le plus possible dans mon plan d'intervention.

C'est avec le recul, que je me rend conte que l'écriture, la lecture et la musique m'ont toujours été salvatrice. Que l'improvisation que j'ai faite, m'a énormément aider à me défendre, m'a offert une période de paix par moment et qu'elle est encore utile aujourd'hui. Tout en me permettant de prendre ma place dans un endroit sécuritaire, j'y est énormément pris de confiance avant qu'elle soit briser à la fin de mon secondaire par un directeur adjoint qui m'a menacé d'enlever mes aides. Avec l'accumulation du stress des examens en fin d'année, c'est là que j'ai été diagnostiqué.Après une bataille pour que mon médecin me donne un traitement, ne voulant pas le faire car j'étais soi-disant mineur. Il a fallu que ça devienne invivable et que ma mère incite pour qu'elle le fasse. Bref, ma jumelle ainsi que ma famille ont toujours été là pour moi.

J'irais même plus loins à l'heure actuelle, je me rend compte que je m'étais beaucoup menti à moi-même, que je m'étais renfermé dans cette boucle hétérocentré juste qu'à se que je frappe un mur, un beau mur qui m'a mise l'évidence en plein visage durant le confinement. ( Je vous passe les détails, mais les personnes concernées qui m'ont écoutés et celle qui m'a fait réaliser tout ça seront se reconnaître.) Vous l'aurez compris et sans doute remarqué cette année, je me considère maintenant comme faisant partie de la communauté LGBTQ+. Si certains avaient encore des doutes, vous voilà fixer. Au moment où j'écris ces lignes, je me désigne comme étant une fille cis-genre pansexuel se qui veux dire que pour moi mon identité genre est en accord avec mon genre designer à la naissance et que la personnalité de quelqu'un compte plus que son genre. Tout ça a forgé et forge encore la personne que je suis: empathique , sensible, à l'écoute et curieuse.

Je vous mets deux musique qui ont bercé mon adolescence: la première, «  Les étoiles filantes» des Cowboys Fringants . Et oui, encore eux, mon groupe préféré que je vous est présenter hier. Ce titre tient une place particulière dans mon coeur puisqu'elle m'a toujours réconforté et a joué après le décès de ma grand-mère maternelle à la radio.

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La seconde c'est «You belong with me» de Taylor Swift. C'est avec cette chanson que j'ai découverte cette artiste. En plus, je trouve toujours ce clip hyper mignon bien qu'il soit empreinte de clichés .

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Mise en contexte: pour le bien de l'exercice on va partir sur deux amis, appelons les Marika et Aiden. Cette dernière a vue son amie partir en courant au toilette sans explication. Moi je mets l'album complet «La grande messe» du quel est tiré « Les étoiles filantes» et on est parti!

-Marika? Tout va bien? Tu es partie en courant, que je lui demande à travers la porte des toilettes.

-Non, ça va pas Aiden, c'est gênent...

-Qu'est qui a? Tu sais que tu peux me parler.

-Problème de fille, mes règles on commencé et j'ai rien sur moi...

-Ho attend, j'ai une culotte de rechange et des tampons.

Je lui passe ces derniers à travers la porte.

-Merci, tu es mon héroïne.

-Est-ce que ton pantalon est taché?

-Malheureusement, c'est toujours intense, je suis vraiment d'avance.

-J'ai des joggings de rechange dans mon casier, je te l'es amène.

Je reviens avec eux et un sac pour mettre son linge tacher. Elle se change et sort des toilettes.

-Merci! Je te ramène les vêtements demain laver.

-Pas problème, voilà d'autre tampon pour le reste de la journée, je lui souris sourire qu'elle me rend.

Nous sortons des toilettes, personne ne sera le drame qui s'est jouer cette après-midi.