Horde zombifiée-Wold War Z

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Juste avant de commencer, on est déjà à la moitié de la rééducation littéraire,enfin à un jour près puisqu'il y a 30 jours, donc je veux vous faire un petit bilan à mi-parcours. D'abord , écrire avec un chronomètre c'est pas la mort et ça rajoute du défis 😂 . Plus sérieusement, j'ai découvert des ressources en moi dont j'ignorais l'existence, je dois vraiment me faire plus confiance. Entre autre, j'ai cette sensibilité que je devrais plus mettre au profit de ma plume. Tout comme mes craintes d'ailleurs qui reste un bon vecteur. Après, comme je m'y attendais, la poésie reste présente dans mon écriture. C'est normal puisque j'ai débuté avec ce style et mettre de la musique m'aide énormément à me mettre en condition. Si l'année prochaine il y a une autre édition avec des programmes spécifiques, c'est claire que j'y participe, j'ai jamais pris au tant plaisir à écrire malgré les contraintes et les difficultés que je rencontre. Passons à notre programme principal. Aujourd'hui, on fait un tour du côté de l'horreur car leshistoiresdemarina nous propose de pratiquer la description de scènes post-apocalyptiques pour une durée de douze minutes. J'ai bien envie pour celle-ci de vous proposer la chanson «Plus rien» des Cowboys Fringants, mon groupe préféré.

[Il devrait y avoir un GIF ou une vidéo ici. Procédez à une mise à jour de l'application maintenant pour le voir.]


Toi qui trouve cette feuille que j'ai protégé contre les éléments. Ne reproduit pas l'erreur de mes ancêtres. Dire que ces rois n'ont pas vue toute les avertissements de dame nature qui s'est pourtant rebeller. La terre actuelle est complètement asséchée car ils étaient avide de profit. Aveugler par ces morceaux de papier temporaire qui n'achète pas la vie. Actuellement, je meurt de faim et de soif, mon corps abandonne peux à peux sa lutte. Je faiblis, mes jambes ne tiennent plus debout, je vais retourner en poussière. Je suis le dernier de l'espèce humaines, la chaleur m'étouffe encore. Serrant mes poumon pour m'amenez avec elle. Mon corps abandonne, je me sens partir, je suis résigné à accompagner la faucheuse. Après tout, on l'aura bien cherché, c'est la nature qui reprend ses droits.

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