Chapitre 4

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Le bruit semblait se rapprocher peu à peu. Je me cachais sous mon lit, mon corps tremblant de peur. Qu'est ce qui frappait aussi fort contre le mur ? J'eu une réponse à cette question assez rapidement. Lorsque le mur fut détruit suite au choc provoqué par ces coups d'une violence extrême, j'entendis la voix de mon ami.
-C'est moi Yume ! Je suis venu te chercher !
Alors que je me relevais, je le vit avec un large sourire et une grosse massue a la main.
-Que fait tu avec ça ?
Lui dis-je avec ma petite voix.
-Je sais pas je l'ai trouver dans la foret ! Mais c'est pratique au moins !
-C'est bien vrai.
Il me tendit la main que je m'empressai de prendre et me tira en dehors de cet enfer. Je pouvais enfin courir, sauter, chanter et rire autant que je le souhaitais. Si jamais on m'avait dit que je pourrai refaire tout ça un jour, je ne l'aurai pas cru. Mon ami me regardait avec un large sourire courir de partout, grimper dans les arbres et parler aux moindres insectes qui passaient. Je me sentais un peu stupide mais tellement heureuse ! Puis quelque chose gâcha se moment de bonheur. Certains des gardes de l'asile, qui avaient remarqué mon évasion, nous poursuivait armes aux mains. Mon ami me prit la main en criant un « savons-nous ! ». Je n'avais donc pas le choix, je devais le suivre avant de faire un nouveau massacre. Il tenait ma main si fort que j'en avais mal, mais je n'avais pas spécialement le temps de m'occuper de ça, car les gardes –en particulier ceux qui avaient des armes à feu- nous tiraient dessus sans arrêt.
-Attendons qu'ils épuisent leur munissions puis nous irons les attaquer !
Lorsqu'il prononça cette phrase, tous devins noirs. La seule chose que je pus entendre était la voix de mon ami, qui était essoufflé. Il répéta plusieurs fois mon prénom jusqu'à ce que je n'entende plus rien. Je pouvais seulement sentir mon corps bouger, et une odeur de sang. A cet instant je compris que, j'avais, ou plutôt ''elle'' avait recommencé. La seule chose que j'arrivais à faire, c'était de me demander :
- Pourquoi fait-elle des choses aussi horrible en se servant de mon corps ?!
Cette question résonnait dans ma tête jusqu'à ce que j'entende une réponse, cette réponse provenait de celle qui partageait mon corps, elle me répondit d'une voix amusée et joyeuse : « Car tu es maudite ma chère ! Et aussi car s'amuse de te voir souffrir des crimes que je commets ! «

Je sentais mon corps trembler et mes larmes coulertandis que ma vue et mon audition revenait petit à petit. Une fois ma vuecomplètement revenue, j'aperçût mon ami, allonger au sol sans bras, me priantde ne pas l'achever, cependant... je n'avais toujours pas repris le contrôle de mon corps... c'était comme sij'étais une pauvre marionnette contrôler par un fou. Je le regardais tremblerde tous ses membres durant quelques minutes. Il se vidait peu à peu de son sanget perdait peu à peu de ses couleurs vives. A la vue d'un tel spectacle, je me misà rire, comme lors de la mort de mes parents, un rire fou et joyeux à la fois,un rire incontrôlable et fort, un rire accompagné de larmes. Je levais ma fauxet, d'un mouvement fluide, je lui coupais la tête. Une décapitation nette. Satête roulait sur le sol, mes larmes tombaient de mes joues et se mêlèrent auxflaques de sang sur le sol. Je tremblais, je pleurais et je me mis àcrier. Mes cris résonnèrent dans laforet, les animaux des alentours avait déjà tous fuis. J'aurai aimé faire demême, pouvoir partir loin de cet horrible spectacle, cette scène ou la seuleodeur présente étais l'odeur nauséabonde du sang qui recouvrait le sol, cettescène ou des cadavres découpé en morceau se superposais, cette scène ou j'étaisl'actrice.


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