Chapitre III

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Le plateau dans les mains, il pris une profonde inspiration avant de commencer à lentement monter les escaliers, anxieux. Un gang. Il ne connaissait de cela que les représentations fictives ou celles des médias qui ne lui inspiraient aucunement confiance.

Arriver en haut de l'escalier en colimaçon, il tomba dans une salle très lumineuse, le font n'étant qu'une immense verrière donnant sur les toits de la villes. Les autres murs étaient gris perle, des poutres métalliques ajoutais au charme du loft. Au fond, tourné vers la verrière, deux hommes semblait attendre. Toute les autres tables c'était tuent en voyant un intrus arriver, sauf les deux hommes.

Timidement il s'approcha et posa le plateau -sur lequel reposaient deux coupes et une bouteille de vin rouge- sur la table basse, tandis qu'un regard gris le scrutait, le mettant extrêmement mal à l'aise.

L'autre homme, très fin dans son costume anthracite, avait toujours son seul œil visible, d'un bleu indigo sublime, était toujours fixé sur l'horizon. L'autre était recouvert d'une longue mèche brune.

Rapidement il repartit vers le rez-de-chaussée désert, mais il eu le temps de voir Aze le saluer tristement. Il était seul à une table et s'était visiblement fait passer à tabac récemment.

Il n'avait jamais trop aimé ce mec, encore moins depuis qu'il avait lâché son Aymeric pour un stupide prof, mais il était vraiment dans un triste état. Il se gifla mentalement. Pas son, il avait Hugo maintenant. Et il devrait s'en contenter.

Il retourna au bar où le patron le regarda d'un air exaspéré, comme si il c'était trop attardé.

"Sérieusement, pourquoi t'es resté aussi longtemps là haut ?! Je sais qu'ici c'est neutre, mais quand même, c'est Julien... Bon, descend moi ça ok ? Ah, et moi c'est Bill au fait. Table 8, bouge ton cul."

Rapidement il pris le deuxième plateau et cette fois ci descendit pour se retrouver dans une ambiance tout autre. Les belles femmes en robe longue, accroché à chaque homme, avaient laissé place à des bombes en jean et t-shirt moulant, se déhanchant au rythme rapide de la musique assourdissantes sortant des immenses enceintes, les Apollon en costume Armani était remplacé par des étalons en jean et cuir. Sur les côtés de la piste, plusieurs box inoccupé, à part un où... Quentin et Aymeric se roule une pelle ?!

Regardant rapidement, la table 8 était celle du fond, longue de plusieurs mètres, où une quinzaine d'hommes et de femmes braillaient. En soupirant, il s'approcha de la fameuse table.

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