Chapitre IV

Màu nền
Font chữ
Font size
Chiều cao dòng

Un grand brun au regard bleu le fixa, avant de crier :

"Eh les mecs regardez ! Bill s'est trouvé un nouvel esclave ! Enfin, je devrais peut-être dire une ! ajouta-t-il avant de se rejeter dans le fond de sa chaise, hilare.

Tout les regards se tournèrent vers moi tandis que je prenais une jolie tente rose. Je posais rapidement les boissons -dont une forte proportion de bière- sur la table.

"Adrien, le martyrise pas direct ! T'sais bien ce que voudrait Aze.

- Ce traitre ?! Putain comment tu peux encore le défendre Thomas ?! T'as bien vu qu'il est avec eux maintenant !"

Je me mordis violemment la lèvre inférieure tandis qu'un silence pesant s'installait, les regards haineux ou triste.

Je balançais sans vraiment réfléchir :

"Il est seul là haut... Et il se fait battre..."

Je baissais immédiatement la tête vers mon plateau, désormais vide, tandis que les regards intransigeants et calculateurs se fixaient à nouveau sur moi.

"A... Aze se fait battre ? Aze ?!"

Je me figeais en reconnaissant cette voix, lentement je me tournai vers lui. Hugo...

"Hm je te présente Souls, l'ex d'Azenet et...

- Hein ?! je me tournais vers le roux avec stupeur.

- Ça ne te regarde pas Guillaume. Mon passé ne te regarde pas. Et tu ne devrais pas être ici d'ailleurs."

Je fronçais les sourcils. Il était tellement froid, sec... Distant... Je détournais le regard et repris mon plateau rapidement, tandis que Thomas je crois, me demandait de les informer si je remarquait autre chose là haut. J'hochais vaguement la tête.

En passant à côté de mon petit ami, je n'eu même pas le droit à un regard.

À peine un message, m'informant que je devais le rejoindre, à la fin de mon service. Chez lui, parce qu'il avait les couilles pleines. On avait déjà vu plus romantique, mais je m'étais habitué à son parler cru, qui m'excitait pas mal même si je le niais toujours.

Je me rendis donc en fin d'après-midi chez mon petit ami, après que Bill m'ai finalement embauché et demandé de venir chaque jour à 7h.

Il m'adressa l'immense sourire qu'il avait toujours quand on était ensemble, sauf quand je l'interrogeais sur son passé. Et quand on était au Razlico.

Il déposa un baiser léger sur mes lèvres avant de m'attirer contre son torse et de refermer la porte, puis me plaqua contre elle. Il se jette dans mon cou qu'il lécha et mordit comme un affamé, me tirant un petit rire. Ses mains baladeuses exploraient ma peau, sous mes vêtements, qu'il fini par me retirer au bout de quelques minutes.

Je le fixais, le souffle court, tandis qu'il m'attirait dans sa chambre...

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen2U.Pro