Chapitre 47 - Léo

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Jérôme me casse la tête avec ses histoires et je n'ai pas réussi à m'éclipser pour aller rejoindre Kaithlyn. Je la vois se déhancher sans sa belle robe blanche au milieu de toute cette foule. Un véritable ange tombé du ciel. Le mien. Je la vois revenir vers moi et elle s'assoit sur mes genoux après avoir pris son verre. Je souris et passe mon doigt dans le décolleté de sa robe, dans son dos.

— Tu n'es pas venu me rejoindre.

— J'aurai bien voulu que tu te déhanches contre moi en effet... J'imagine que d'autres ont dû profiter du spectacle !

— Sûrement, mais je m'en fiche. Viens avec moi.

J'acquiesce en finissant mon verre. En arrière-plan, je remarque Thomas qui embrasse une fille. Je lui avais bien dit de ne pas fourrer sa bouche partout c'est fou ! Et... Oh putain.

— Bébé... À quel moment as-tu laissé mon frère avec sa langue dans la bouche de ta sœur ?

— Quoi ?

Elle se retourne subitement et écarquille ses yeux. Je suppose qu'elle n'a rien vu bien sûr.

— Je ne comprends vraiment pas ta sœur.

— Moi non plus, je te rassure !

— Allez, allons danser bébé. Ils sont majeurs.

— Ce n'est pas toi qui va entendre Alayna demain.

Je ris en secouant la tête et la prend par la taille pour aller sur la piste de danse. Elle s'accroche à mon cou en se déhanchant contre moi. Je n'arrive pas à la quitter du regard et j'ai horriblement envie d'elle désormais. Cette danse n'arrange rien.

Au bout de quelques minutes, je ne tiens plus, je veux partir de là. Je descends mes mains sur ses fesses et elle me regarde comme choquée, mais elle a son petit sourire en coin en même temps.

— On rentre. J'ai horriblement envie de toi.

Elle mord sa lèvre et ça me rend fou. Je viens déposer un long baiser dessus avant d'attraper sa lèvre entre mes dents. Je l'entends gémir contre ma bouche puis elle m'attrape la main et nous extirpe de la piste en moins de deux secondes.

J'interromps Julia pour la prévenir que l'on rentre et je suis Kaithlyn qui est horriblement pressée tout d'un coup, ça me donne envie de rire. Elle s'arrête subitement, et je m'arrête devant elle.

— Ça va bébé ?

Elle se penche et retire ses escarpins puis elle me fait son plus beau sourire.

— Maintenant oui. J'irais plus vite sans !

Je ne peux m'empêcher de rire et l'attrape dans mes bras, la renversant légèrement pour l'embrasser. Je l'aime tellement. Je relâche ses lèvres.

— Qu'est-ce que je ne te ferais pas là tout de suite...

— Pour ça il va falloir m'attraper mon cher Léo !

Elle se défait de mes bras et part subitement en courant. Je ne peux m'empêcher de rire en levant les yeux au ciel. Kaithlyn est joueuse ce soir, et moi je le suis encore plus.

Je la rattrape en un rien de temps et l'agrippe par la taille. Je la plaque contre un palmier et la dévore du regard. Pourquoi sommes-nous en pleine rue ? La maison me parait trop loin.

— Tu ne peux pas m'échapper bien loin, ma belle.

— En robe ce n'est pas facile aussi !

— Je me ferais un plaisir de te l'enlever dès que nous serons rentré...

Elle sourit en me regardant et j'ai chaud. Elle se jette à mon cou subitement, mais je recule ma tête pour l'empêcher de m'embrasser et je souris bêtement.

— Mais laisse-moi t'embrasser !

— Tu m'as fuis Kaithlyn. Je veux que tu me désires autant que je te désire.

— C'est déjà le cas !

J'agrippe ses fesses, pressant mon érection contre elle et je vois son excitation grimper en flèche. Parfait.

Je m'écarte tout d'un coup, la laissant complètement pantelante, et je n'ai encore rien fait. Ça va être explosif en rentrant. Elle ronchonne derrière moi et je lui ouvre la porte de la maison. Je pose ma veste et lui demande si elle a faim, faisant référence à son excitation de tout à l'heure. Moi je n'ai faim que d'elle.

— Bien évidemment. Danser ça creuse. Un sandwich sera parfait.

Elle me sourit victorieuse et monte à l'étage. Putain, elle m'a eu. Je ris tout seul en allant dans la cuisine. Je ne m'y attendais pas, mais avec elle je suis toujours surpris. J'entreprends de couper du pain, c'est vrai que j'ai aussi un petit creux.

Je me retourne en entendant des pas derrière moi et bon sang de bonsoir, je rêve. Kaithlyn porte l'une de mes chemise blanche et elle est nue en dessous. Elle ne sait peut-être pas qu'elle est transparente. Ou peut-être bien que si, elle joue avec mes nerfs.

— Alors mon sandwich ?

Elle s'appuie au bar et j'aperçois la naissance de sa poitrine dans le décolleté.

— Il arrive Madame.

— Je vais t'aider sinon on ne mangera pas avant demain.

Elle se glisse entre moi et le plan de travail, frottant ses fesses contre moi. Elle beurre le pain et se déhanche en même temps contre moi. Mon érection commence à me faire mal. J'agrippe ses hanches pour qu'elle arrête et je soupire son prénom.

Elle tourne sa tête vers moi le regard innocent puis lèche ses doigts et je craque le premier. Je la retourne contre moi pour venir l'embrasser fougueusement. J'agrippe ses fesses puis ses hanches et la soulève pour l'asseoir sur le plan de travail. Je détache mon jean rapidement et elle continue de me provoquer en venant me caresser par-dessus mon boxer. J'adore les préliminaires avec elle, mais ce soir nous n'en avons pas besoin, ni l'un ni l'autre. La tension est beaucoup trop présente depuis notre danse.

Je passe ses bras autour de mon cou après avoir baissé mon pantalon et mon boxer. Je la rapproche de moi et me glisse en elle avec la plus grande facilité. Nous lâchons un soupir synchrone. Tout en me mouvant en elle, je dévore son cou de baiser. Elle gémit mon prénom lorsque j'accélère mes mouvements en elle puis elle me tire les cheveux. J'adore ça. Kaithlyn était tellement frustrée il y a quelques minutes que je ne tarde pas à la faire atteindre le paroxysme de son orgasme et elle est tellement belle. Elle se décompose sous mes ultimes coups de reins et je tombe également sous le plaisir. Putain de merde.

Elle pose sa tête contre mon torse et je tente tant bien que mal de calmer ma respiration. C'était rapide, mais bon sang avec elle, je pourrais tout faire. Elle redresse son visage, que je ne peux m'empêcher de prendre dans mes mains pour l'observer. Elle sourit et elle est bien, je le ressens.

— Qu'est-ce que tu es belle... Je ne me lasserai jamais de toi.

— Oh moi non plus, Léo. Surtout pas après ça !

Je souris en la regardant rire et je lui fais un petit baiser.

— Tu es à moi.

— Uniquement à toi Léo.

— Pour toujours...

Ma voix est un murmure. Je pensais qu'elle ne m'avait pas entendu, mais son regard est surpris. C'est ce qu'elle voulait entendre je le sais. Quoi qu'il arrive, ce sera pour toujours, c'est certain. Je ne pourrais plus jamais connaître ça avec quelqu'un d'autre, c'est impossible. Je détourne la conversation.

— On va peut-être se le manger ce sandwich, pour aller se coucher.

— Oui chéri.

Elle descend du plan de travail en souriant et arrange la chemise. Je remonte mon pantalon distraitement. Je ne me lasserai pas de ça non plus. Ses petits surnoms...

Adorer ne fait pas partie de mon vocabulaire, elle m'apprend doucement à apprivoiser ce sentiment. Ce n'est pas désagréable, mais ça m'étonnera toujours que je puisse ressentir ça. Je m'en suis tellement privé pendant de longues années, que réapprendre est difficile. Mais je sais que pour elle je pourrais déplacer des montagnes.

DIMANCHE 26 JUILLET 2015

Nous sommes partis tôt ce matin. Notre petit week-end à Cannes est terminé et pour une fois je ne me suis pas senti mal ici. Je n'ai pas eu le temps de passer au cimetière. Je n'y passe qu'une fois par an, mais parce que je viens exprès ici. J'aurais pu profiter d'être là pour y aller, mais je ne sais pas comment je l'aurais supporté. J'ai déjà craqué une fois pendant ce week-end en parlant de Thomas, ça m'a suffit.

Alayna ronfle à l'arrière, ils se sont à peine couché en rentrant et Kaithlyn caresse distraitement ma main, posée sur sa cuisse en regardant le paysage. Tout d'un coup, derrière nous Alayna s'est réveillé et nous fait part de son état d'esprit.

— J'ai fait une grosse connerie hier soir.

— Tu veux vraiment parler de ça maintenant ?

Je sais que Kaithlyn fait allusion à ma présence et que je ne suis pas en mesure d'écouter des histoires de filles. Je peux faire abstraction de leur conversation sans problème.

— C'est bon, c'est la famille. Et puis il me rend service en m'écoutant, n'est-ce pas Martinez ?

Je souris en secouant la tête. J'ai cru qu'elle allait balancer le service que je lui ai demandé hier, je l'aurais tué. Ou je me serais fait tuer par Kaithlyn. Alayna soupire en s'appuyant entre nos deux sièges.

— J'ai couché avec Thomas.

— Quoi ?

C'est sorti tout seul, sans que je le prémédite. Kaithlyn ne se retient pas de rire. Je manque de self contrôle ces derniers jours, je n'y peux rien.

— On a bu... Mais purée que c'était bon.

— Eh eh ! Je ne veux pas en savoir davantage !

Je ne veux pas entendre les ébats de mon frère avec Alayna, ce n'est pas possible. Kaithlyn poursuit.

— C'était sûr que ça allait finir comme ça Layna en buvant...

— Même sans boire, je renchéris. Les Martinez sont des durs à cuire, on ne lâche pas l'affaire comme ça.

Je souris en regardant Kaithlyn, qui lève les yeux au ciel.

— J'ai été trop vulnérable ! Ton frère m'a eu avec ses beaux yeux ! Je ne regrette pas c'est sûr. Je suis dans la merde.

— Il suffit de le dire à Ethan, ne te compliques pas la vie, tu es jeune ça ne sert à rien. Il n'est pas l'homme de ta vie.

— C'est facile à dire Martinez ! Et comment tu sais qu'il ne l'est pas ? Je le pensais pourtant...

— S'il l'était, tu n'aurais pas couché avec Thomas. Tu ne serais même pas attiré par quelqu'un d'autre. Et en plus tu ne te poserais pas autant de questions.

Je m'étonne moi-même de ce que je suis en train de lui dire. Je ne suis pas doué pour ces choses-là, et peut-être qu'elle voudrait les entendre de la part de Kaithlyn. Mais ça n'a pas l'air de la perturber que cela vienne de moi, ça va.

— Et puis pourquoi il n'est pas venu me rejoindre ce week-end ? Il ne m'a même pas donné d'explication.

— En plus alors. Laisse tomber. Profites de ta vie.

Kaithlyn me serre la main avant de me l'embrasser et je croise son regard puis repose mes yeux sur la route.

— Je suis contente que vous vous entendiez si bien... Merci Léo.

— Tu n'as pas à me remercier bébé. J'apprécie ta sœur, et que ça te fasse plaisir c'est encore mieux. Tu ne veux pas aller voir tes parents ? Histoire de repartir sur de bonnes bases avec ta mère...

— Elle ne veut pas de toi. Alors non.

— Bébé...

— Ce n'est pas discutable.

Un jour elle pourra peut-être m'apprécier. Enfin, je crois que je rêve de ce côté-là. Vu notre dernière rencontre, je doute que ça change. Et ça me fait de la peine pour Kaithlyn. C'est tellement difficile de vivre sans ses parents. Les miens me manquent... Je secoue la tête. Je ne peux pas y penser, je ne dois pas le faire.

***

LUNDI 27 JUILLET 2015

Après une énième lecture de contrat, je m'autorise une pause. Je pose mes lunettes de vue et m'appuie en arrière sur ma chaise et je soupire. Je m'ennuie ici. Je n'arrive pas à m'y faire. Il le faudra bien à un moment donné, mais c'est plus difficile que je pensais. À partir de septembre, je pourrais faire les remaniements que je désire, comme ça d'ici là j'ai le temps d'y penser. Samedi c'est mon premier grand évènement. L'entreprise organise chaque année Le Bal de Paris. J'ai regardé un peu sur internet et les années passées, c'était spectaculaire. J'espère être à la hauteur. Je voudrais faire mieux que mon oncle, mais pour une première année, je ne vais pas décrocher la lune.

Je prends mon téléphone et envoie un message à Kaithlyn pour voir comment elle va. J'espère que sa journée se passe bien. Ce petit week-end était parfait. J'aimerais passer toutes mes journées, collé à elle. Elle en aurait marre de moi au bout d'un moment c'est certain, mais elle me manque constamment. Je lève la tête lorsque l'on toque à la porte. Je dis à la personne d'entrer et c'est Margaret, mon assistante.

— Désolée de vous déranger Monsieur Martinez. On vient de me livrer ce colis pour vous.

— Ah super, merci Margaret, vous pouvez le poser sur la table.

Elle pose la boîte avant de sortir son carnet de sa poche et de se placer devant moi.

— Votre voiture vous attendra à quatorze heures pour vous rendre à la salle du bal. À la demie, la décoratrice sera sur place et vous pourrez lui donner les derniers détails.

— Merci Margaret.

Elle prend congé et je me lève pour aller ouvrir la boîte. Je souris en frôlant le tissu corail de mes doigts. La robe de Kaithlyn pour samedi. Elle va me tuer, je le sais. Mais j'ai hâte de la voir avec. Je la range dans l'armoire de mon bureau, je lui donnerais vendredi, c'est le jour où elle a prévu d'aller l'acheter avec Alayna. J'arrange ma cravate, prend mon téléphone et je vais déjeuner avant d'aller à mon rendez-vous.

***

Je me gare dans l'allée. Kaithlyn est déjà là, j'aperçois de la lumière dans la cuisine. Je rentre en détachant ma cravate et retire ma veste.

— Salut ma belle.

Elle me rejoint tout sourire puis se hisse sur la pointe des pieds pour m'embrasser. J'enlace sa taille en la serrant dans mes bras.

— Ça va Léo ? Ta journée s'est bien passée ?

— Oui. Et la tienne ? Pas trop dur la reprise.

— Carrément, elle sourit. Allez viens, le dîner est prêt.

Elle embrasse ma joue avant de me prendre la main pour aller dans la cuisine.

Je détache quelques boutons de ma chemise tandis qu'elle sert le repas. Elle s'installe ensuite face à moi et nous commençons à dîner. Elle me regarde et je lui souris instinctivement.

— Tu connais un Vincent ?

Je hausse un sourcil en la regardant. Pourquoi elle me parle d'un homme ?

— Le nom de famille ?

— Je n'en sais rien du tout... C'est le mec avec qui je discutais le soir de ta conférence de presse pour l'association.

— Celui qui te draguait avant que je te dise que je t'aimais ?

— Euh il ne me draguait pas...

Elle lève les yeux au ciel. Il m'avait bien énervé ce soir-là. Je fronce les sourcils.

— Et donc, pourquoi tu me parles de lui ?

— Je l'ai croisé à l'hôpital. Et il m'a dit qu'il te connaissait mieux que je ne pensais...

— Ah bon ? Pourtant je ne connais aucun Vincent. Et sa tête ne me disait rien.

— Je ne sais pas qui c'est, mais ça me perturbe.

— Qu'est-ce qu'il t'a dit d'autre ?

— Que tu ne me rendrais jamais heureuse...

Je ris nerveusement, terminant mon assiette et je secoue la tête.

— C'est qui celui-là, pour se permettre de dire ce genre de chose ?

— Bonne question. Mais il m'a dit à très vite alors je suppose que l'on ne va pas tarder à savoir ce qu'il veut.

— Ouais. Je n'aime pas trop ça.

Je me lève pour débarrasser la table. Qu'est-ce qu'il me veut celui-là ? Je pourrais parier qu'il a un rapport avec mon oncle... Je ne sais pas vraiment à quoi me préparer. Je sens les mains de Kaithlyn sur mon dos puis son baiser sur mon épaule.

— Oublions-le pour ce soir, on va se coucher.

J'acquiesce en passant mon bras autour de ses épaules et nous montons à la chambre. Je vais prendre une douche rapidement et lorsque je retourne dans la chambre, elle est déjà sur le lit. Je m'affale à ma place en soupirant et elle se blottit rapidement dans mes bras, posant sa tête sur mon torse.

— Hum tu sens trop bon.

— Encore heureux.

Je ris et elle me fait une grimace avant de m'embrasser. Je passe ma main dans ses cheveux en prolongeant. Les journées sont longues, mais le bonheur de cet instant, de la retrouver à la maison le soir est magique. La serrer dans mes bras, l'embrasser, la câliner, l'aimer.

Plus que tout au monde.

***

VENDREDI 31 JUILLET 2015

Mon réveil sonne et je soupire en l'éteignant rapidement pour ne pas réveiller Kaithlyn. Je la serre doucement dans mes bras, je ne veux pas me lever et affronter cette journée. Ce sont les derniers préparatifs pour demain, et ça me stresse un peu bizarrement. Je ne suis pas comme ça d'habitude. De plus, j'ai mal dormi alors que dernièrement je dors plutôt bien, depuis qu'elle habite avec moi.

Je sens Kaithlyn s'accrocher à moi, elle frotte même son bassin au mien. J'aurais dû me lever directement pour ne pas la réveiller, elle est de repos. Mais elle réveille mes sens et lorsqu'elle relève sa tête vers moi, je comprends ses intentions.

— Salut bébé.

— Bonjour toi. Très en forme ce matin, Monsieur Martinez.

Elle fait référence à mon érection que je n'ai pas pu retenir. C'est tout simplement impossible.

— C'est de votre faute, mademoiselle Romero.

Elle se hisse sur moi, s'asseyant sur mon bassin. Nos dix minutes matinales m'avaient manqués. Elle passe ses mains sur mon torse en me regardant.

— Je suis toujours en forme. Et je pense que tu en as besoin pour ta journée.

— C'est certain !

Je souris en l'attirant dans mes bras pour l'embrasser. Elle se frotte à moi et je nous cache avec la couverture.

***

Il est dix heures et j'ai une réunion qui n'était pas du tout prévu. Ça me gonfle ça aussi. Je changerais ça dès que je pourrais. Des réunions à tout va pour parler de choses que l'on pourrait discuter une fois tous les quinze jours uniquement. Mes pensées divaguent vers ma belle brune que j'ai dû me résigner à lâcher ce matin. Le souvenir d'elle me chevauchant, m'envoie au septième ciel. Je décide lui envoyer un message.

10:22 : Je souris bêtement au bureau. L'image de toi ce matin me chevauchant ne veut pas sortir de mon esprit et ça me donne chaud. Tu es incontestablement magnifique. Je t'aime bébé.Kaithlyn 11:04 : Ne te déshabille pas devant tout le monde s'il te plaît. Je ne voudrais pas que quelqu'un d'autre voit ton corps et ai des envies peu catholiques. Tu me manques, le lit est vide sans toi. 11:06 : J'aurais bien passé la journée à te faire tout un tas de trucs inimaginables à t'en faire perdre la raison ! ;-) Les envies des autres de m'intéressent pas, pour les tiennes je suis tout ouï !Kaithlyn 11:08 : Léo Gabriel Martinez je suis profondément choquée ! Concentre-toi sur le travail ou tu vas faire des conneries. Et réserve-toi un peu pour ce soir s'il te plaît ! ;-)11:10 : Je m'ennuie en réunion, je préfère parler avec toi. Si je continue à imaginer tout ça, je serais bientôt trop serrer dans mon pantalon ;-) J'attends avec impatience ce soir ! Je t'aime bébé.

Voilà. J'ai de nouveau un sourire à la con sur mon visage. Son pouvoir sur moi est impressionnant. J'espère qu'elle ne m'en voudra pas pour la surprise laisser dans la cuisine avant de partir.

****

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